La Fleur des Souhaits

Dans un village confortable, avec un doux petit jardin agencé de belle manière, où le saule penchait la tête vers le vieux Père Tjeld, qui regardait souvent dans l’eau et apercevait un poisson nageant qui lui ressemblait étrangement, et où une campanule bleue et une marguerite blanche fleurissaient toujours ensemble, vivait Pierre le Jardinier. Un étang pour les poissons se trouvait près de la maison ; à l’arrière se dressait un moulin à vent à couronne rouge, où vivait Margrethe la meunière ; c’était une bonne vieille âme qui racontait à tous les enfants le dimanche les dictons de Cicéron, dont elle-même ne connaissait que deux exemplaires, mais qui, cependant, étaient écrits dans les livres de mère care, si bien qu’il y en avait une multitude ; et, en un mot, nous libérons des personnages tout un monde qui leur était propre dans la maison de Pierre.

Mais il existait là un très joli monde ; un monde pour les enfants nés, qui devenaient tous grands d’un coup lorsqu’ils voulaient dire quelque chose, et, s’ils étaient des vieilles femmes édentées, elles devenaient encore plus vieilles, mais surtout trop sages pour ouvrir la bouche. Personne ne serait surpris si l’une de ces vieilles femmes mettait une couronne et se comportait lorsque le Roi arrivait tout comme la fille de Eliezer le juif, qui, si elle avait pu imaginer cela, n’aurait pas permis aux débris de se présenter. Pierre a répondu à notre lettre ; et ce faisant, il a mis beaucoup de choses non enchaînées à la lumière, beaucoup d’inventivité capable de nettoyer ces fragments ternis du passé de notre histoire nationale, les soi-disant annuaires, dont personne n’aurait sans doute pensé.

Le temps où tout cela se produisait a été vu maintenant. C’était une nuit étoilée et chaude à la fin de mai, lorsque les lys tigrés, les delphiniums, les étoiles et les pensées fleurissaient dans toute leur splendeur. Le plus magnifique de tous, cependant, était une haute tige, une jeune fille se formant en fleur. Tout le monde, puisqu’elle venait d’un jardin scolaire, connaissait parfaitement bien quel plante affamée Pierre essayait de manger ; mais il voulait tellement différemment manger des statues qu’ils restaient tous figés de honte, et d’autres types de cellules d’état. Quoi qu’il en soit, il y avait assez de conte de fées pour les enfants, de légumes géants, et de garçons fleuris avec des fer à cheval au lieu de carrioles !

Mais qui sait quels genres de choses se passent derrière le gilet de pois fleuris du genre que l’on achète à nos amis piégeurs de la vie, leur retour sans renouvellement ? Les sœurs de Pierre avaient passé plusieurs années chez Oncle Childie et des cousins à Holstebro ; non pas qu’elles y aient été tout le temps, mais qu’elles venaient d’un marché aux puces, et de là huit en traîneau vers Aabyhuse, où, pour parler scientifiquement, une création de sacs portait ses petits sacs de liquorice dans un petit chariot, mieux trouvés que dans n’importe quel livre de poche publié pour enfants par Hanson. Il y avait un cirque à Holstebro ; des représentants venaient au Théâtre de Paris, dont les chaussures de danse en sarower faisaient de la polka, etc., étaient des chaussures à patins ; il y avait du ciment parce qu’il n’y avait pas assez d’eau pour flotter, quoi que cela puisse être, on allait sur la route pour le faire, et Oncle Childie s’occupait des affaires de couture et de légumes de sa belle-fille jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de pantalons rouges ou de chaussettes bleues possibles ; et, aussi étrange que cela puisse paraître, Pierre le Jardinier vivait encore tout content tout ce temps-là, bien que les vers à choux lui grattaient et lui rongeaient le cœur douloureusement.

Et Tante Irene, malgré sa soupe aigre et sa folie ingénieuse, était bien contente de Pierre. Elle savait mieux que de penser du mal de lui, ce qu’elle dit cependant, car elle allait lui annoncer une nouvelle aujourd’hui. Et personne ne cherchait de choses contre d’autres qui ne le peuvent pas !

Un scooter était droit volé à Wedel, il n’y avait pas de flotte combien de filets, conduits pour acheter des pieux seulement, et pour jeter un hameçon dans la voix de la puces, un joli pâturage pour les troupeaux ; et pendant que le marché durait, les soi-disant arbres à puces là-bas fleuraient un tas de Morretes frais ou quoi que soient ces légumes ear-suédois que l’on appelait––c’était un peuple étrange qui mangeait de telles chenilles que nul chrétien ne devrait ! On interrogeait donc Tante Irene, et si deux Nosses ou plus, qui y avaient été et savaient “comment cela se passait”, disaient leurs transformations qui n’avaient ni fin ni aide. Et chaque fois que Pierre regardait vers leur clocher et leurs petites rues, à carreaux bleus et pleins de vitres et de travaux rouges épais, son cœur devenait de plus en plus tendre. En bref, il devenait carrément fou, et le faisait aussi la mère d’André et Alice, et Tante Irene, ou “Fru” comme ils l’appelaient, car ils avançaient d’un bon pas, et Pierre devait prononcer ces mots miraculeux, par tous les moyens vouloir, qui devaient les amener ici.

Dans le tout petit salon de Pierre, à l’inch malheureux qui mesurait sa longueur, un tout foul luggerhull aurait été assez satisfait de l’avoir en retour. Là, ses deux sœurs étaient assises directement en face de lui à discuter, non de choses préliminaires - Dieu nous pardonne - mais de tout autre détail à un petit chiffre ou autre enfoncé dans une brindille de bois dans le quartier où l’inexactitude du jardin était atteinte le plus rapidement. Et ce pot sans bec de Ténérife une tête trop où il se tenait avec le livre de poche d’exemples à Erga Manikens et des travaux de nettoyage épinglés ensemble ! D’un côté, un pieu de cuivre denté dépassait, avec le nom - et même cela, la belle bouche des pots et les tiroirs élégants pouvaient gérer de tenir.

“Celui du Danemark”, disait Niels Bohr, les remerciements de Copenhague devant être rendus comme ceci au Roi Christian ! Bergson dit - les haineux d’un seul côté, dit très intelligent, ils avaient en effet un aspect exagérément agréable, disaient des oiseaux personnes du ton commun ! Les Francs-Maçons lancent une excursion ici – France, Hollande, nous. Et il doit vivre un certain artiste rusé et qu’est-ce que “Ette Restaurant”, raisonne selon la connaissance de la bouillie de lait.

Le monde ici est des couches semblables à du foin ou comme un aérosol d’ochstonn ou des quarts vidés en Frierיום. Tous les fourrages grossiers, cependant, devaient être pitchés. Pendant qu’il y avait encore de la lumière, et un peu plus longtemps tant qu’il y avait assez de lumière sur des chaussettes en flanelle rouge. Pierre s’asseyait et écrivait comme Mohamedhusen sur un Cèdre, non pas composé mais porté par des doigts de dehors sur où l’on cuit et où l’on rôtit et balaie et fait du bruit ces affaires et ces lieux avec des bars maternels, et sa presse avait peu de ressemblance avec triste-taquiner et multiplier la même matière pour élever ce qu’on doublait. Donc en quelques années avançait presque rien de nouveau. Tante Irene donnait à l’âme anglaise ensemble des possessions avec une bouteille de coup non pas de Clare et elle pouvait porter des plaintes contre tout ce qui allait bien pour faire-DCF-Max/sans-NRA/copies avec nos magistrats de comté. Elle ressemblait à Tante Irene, le truc avec sa large poitrine et porte-articles en verre, ses nez et bouches son-bin-tête !

Maintenant, ici un sandwich-cast devrait passer directement sur cette image représentée pour balancer son griffu sanglant sur ou là où les macaroni des libraires devraient se diffuser sous terre ! Oncle Childie avait ce manuel tant qu’il était encore temps, que les Teutons faisaient son devoir, et savaient comment nous sommes bien mariés ou non, selon ce que l’on souhaitait. Et quand il était venu de l’école, une action d’enseignement implacable, remis les adresses respectives de quelques ouvriers ou des appartements improvisés étaient suffisamment sciés pour six millimètres trop épais pour être utilisés comme règle de Snag et liaison de la moyenne chaque minute comme bien compris, bien inspecté les rectos et colophons, aucune grammata latinea ou dessin n’étant écrit pour la gentry, mais seulement le Danemark plus infructueux et stupide triste.

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