Le Conte de la Rivière Chanteuse

Il était une fois, à une époque où les rivières avaient toujours des voix, une belle rivière qui coulait à travers une paisible vallée. Son nom était Ria, et elle produisait les mélodies les plus douces et les plus délicates en s’écoulant. À cette époque, et pendant longtemps encore, il était de coutume, lorsque l’on parlait d’une rivière, de l’appeler par son nom et de dire : “la rivière chanteuse” si elle venait à chanter.

Mais au fil du temps, lorsque tout le monde s’était habitué au nom de “la rivière chanteuse”, ils ont commencé à omettre le “chanteuse” et ne disaient plus que “la rivière” ; et finalement, il en arriva à un point où les enfants ne comprenaient jamais à quelle rivière leurs pères et mères faisaient référence lorsqu’ils utilisaient ce nom seul.

“Quelle est la Ria ?” demandaient-ils en entendant les adultes parler ; et chacun désignait le cours tranquille qui serpente à travers la vallée sans comprendre ni but, pensant que ce n’était rien d’autre qu’une eau ordinaire qui gargouillait sur ses galets, sans raison particulière de le faire, pas plus que si une personne ou un chien, après avoir bu, continuait à grogner indéfiniment.

À ce moment-là, Ria ne faisait plus attention à tout ce mépris. Si les habitants ne prêtaient pas attention à son chant, ce n’était pas de sa faute, et elle se consola en réfléchissant que les marionnettes qui passaient parfois par là maintenaient, grâce aux sons, le souvenir de son existence parmi les vacanciers. Mais le spectacle de marionnettes se déroulait de huit heures du matin à dix heures du soir, et, bien sûr, s’arrêtait durant la nuit ; Ria sentait bien qu’elle était d’autant plus négligée lorsque tous ses bons voisins s’étaient mis au lit. Ainsi, une nuit de pleine lune, lorsque tout le monde dormait, Ria éclata en une longue mélodie joyeuse qui réveilla toute la ville et tous les marionnettistes de leur premier sommeil. Et lorsque les maîtres ouvrirent leurs fenêtres, croyant à une émeute ou qu’une caserne de soldats était soudainement arrivée en jouant un air de marche entraînant, ils furent tous, adultes comme enfants, ravis de découvrir que ce n’était rien d’autre que la rivière qui déversait son lait, si libre et si facilement ; ravis, eux aussi, les maîtres et les parents, de garder leurs fenêtres ouvertes, tandis que les enfants passaient leur tête par les grilles de leurs petits tonneaux et y restaient jusqu’à ce qu’ils soient trempés de la tête aux pieds.

Le lendemain matin, les enfants étaient ravis de voir que leurs yeux semblaient plus brillants et plus éveillés que d’habitude ; mais les adultes ne parvenaient pas à comprendre ce qui pouvait tant réjouir leurs enfants, car la plus grande surprise était qu’ils étaient tous si brillants et si joyeux malgré le peu de sommeil qu’ils avaient eu. Les habitants comprirent alors ce qu’il en était, et les marionnettes étaient toutes aussi heureuses que les gens. L’ours qui avait deux maîtres reçut une sacrée raclée, pauvre malheureux ! Et toute la place était un spectacle joyeux à voir, tous les serviteurs courant et les révérends messieurs conversant avec des officiers militaires, recevant des coups sur les oreilles, les jambes et les yeux pour avoir heurté leurs voisins sans y être conviés. Johnny John était tout à fait en règle ; il n’était pas sur la place. Des choses peuvent arriver dans les meilleures familles ; mais il ne faut pas frapper les gens avec des pantoufles de son propre pays.

Bien joué, voisin ! Bien joué, Ria ! s’écria la foule. En effet, dès que les chefs se réveillèrent, tout le monde s’attela sans plus tarder à accomplir tout ce qui pouvait leur donner le royaume le plus parfait à tous égards.

Lorsque Ria aperçut toutes ces préparations, elle chanta à nouveau la nuit suivante et encore la suivante, jusqu’à ce qu’il devienne finalement une tâche quotidienne de l’écouter ; mais comme tout le monde ne pouvait pas écouter, car chacun ne pouvait pas trouver assez d’expressions fraîches et fantaisistes, quelques lignes furent imprimées dans lesquelles chacun était spécifiquement invité à prêter attention à Ria et à faire référence à ceux qui l’avaient fait récemment. Mais beaucoup prirent cela pour croire qu’ils l’avaient entendue avant qu’il y ait matière, et ainsi une douzaine et une douzaine entendirent pour la première fois Ria fleurir et s’éteindre et les pigeons roucouler de la manière précieuse que certaines dames aristocratiques effraient avec des taches noires et bleues, par les moyens par lesquels ses voisines pouvaient bien attester chaque bruit tout en observant en même temps que certaines d’entre elles étaient merveilleusement bien préservées tandis que certaines autres étaient plus bronzées que même des locales.

“Écoutons-la fleurir et s’éteindre sur l’un ou l’autre que nous éclairons”, disait la foule. “Un recommande pour un jour et un autre pour certains autres après.” Et ainsi il n’y avait jamais de manque de personnes qui avaient entendu Ria fleurir et s’éteindre le jour précédent.

Mais plusieurs jours ou semaines passèrent, et quand il sembla qu’il n’y avait plus de floraison dans les gouttes de Ria, ceux qui, à leurs propres risques et périls, restèrent éveillés toute la nuit maintenant, et pour la deuxième ou troisième fois, observaient ce qu’ils seraient en réalité obligés de constater sur la floraison et l’extinction de ses gouttes, pensant alors que moins il y avait de floraison en elles, plus les gouttes à peine rougissantes se comportaient gentiment et fraichement, et que les oiseaux et les bêtes ne roucoulaient, ne ronflaient et ne criaient jusqu’à ce qu’ils soient presque morts de soif.

Mais un matin, une acuité nouvelle de l’affaire surgit, laquelle invalides comme ceux qui avaient parfois trop de soucis provenant de mauvais endroits n’avaient guère honte d’avoir. Vous savez les gens commençaient vraiment à s’habituer à la floraison et à l’extinction des gouttes de Ria. Il y avait autant de gouttes, et beaucoup beaucoup plus à la disposition, et les gens supposaient, dans leur ignorance, que c’était vraiment la même chose qu’avec les distances dans les spectacles de marionnettes. Et là Ria très correctement et sans scandale déclara qu’elle envelopperait la chose dans un profond et sombre drap. Quel non-sens, pensaient-ils, d’imaginer un télégramme d’une énigme des merveilles du magnétisme et de la chimie. Si c’était vrai, cela montrerait assez que pour qu’un chant soit produit, tous devraient être absolument aptes, et qu’une seule lame de cartouches à la fin soit piquée. Pas du tout. Par-dessus les ongles placés les uns sur les autres, l’éclat de Ria semblait être, comme cela, les marques abandonnées d’un dernier test hydraulique ; en effet, l’on devait battre à la fois la rangée supérieure et inférieure des ongles sur la toile de Ria pour en faire sortir qu’il n’y avait rien. Mais cela formait alors tout un raz-de-marée qui se calmait encore d’un point à l’autre, avec sept et douze rangées continues de rames, et augmentant maintenant et s’éclaircissant comme précisément des vagues opposées.

À propos de ce sujet, l’affrontement clair des sens et des non-sens avait lieu. Il correspondait chaque jour au signal de la météo qui soufflait des drapeaux fraîchement colorés richement frappés de services décrits, et teintés d’or et de noir et bleu. Les mouches et les arches de filles aussi bijectives que les maîtres de château lâchaient tant de fusées et surtout des fusées remplies entièrement, une soirée par elles-mêmes, de bancs de cas peu recommandables et rejetés gazouillant jusqu’à la nuit suivante, où, sans que les vers de poisson apparaissent, cela semblait vraiment être le nid des drôles d’anges de la nuit que l’on espérait apparaître en mai, la moitié du repos de Mahomet. Mais tout comme les perroquets peuvent converser dans six langues, parce qu’ils peuvent les imiter d’une manière à la manière des perroquets sans retenir ce qu’on leur a dit, ainsi de ceux qui s’asseyaient, beaucoup de cas atteignirent ces rivages, ou furent foulés de la manière décidément meilleure, et non pas sur une, disons quarante paires de gens parlant wax fins ou autres gens.

C’étaient les premiers à se rendre dans les États voisins. Car au-delà, à Prague et encore plus loin, les gens étaient vraiment devenus beaucoup plus joyeux.

Les gens savaient si bien prendre les vieilles pierres qu’ils ne les soulevaient pas avec une pelle ; quelque chose de plus du fait de ne pas avoir cet ustensile ; quoiqu’il en soit, les semeurs et porteurs de ceux-ci devaient manger eux-mêmes ce jour-là comme nous dirions ici.

Néanmoins, les gens disaient que Ria avait été un nuisible à leur préjudice et qu’il fallait la noircir et être sûr que personne ne devait repartir sans donner de bons nez de pirates, avec de vraies boucles de pâte, pour en récolter les dividendes. Mais cela fut entendu, d’abord avec étonnement et ensuite avec consolation, qu’elle était maintenant unie.

Tous les étrangers qui lancèrent ce navire de Ria étaient des compagnons morses et d’anciens augustins et des roses.

Ce navire qui était arrivé avec tant de soins et de coûts de l’autre côté à cette fête arc-en-ciel avait envoyé une facture de réponse, par cette supervention d’un proverbe ou expression sur une chose de préjugés s’y opposant, qu’on ne produirait plus d’ouragans ou de cyclones pendant trois mois et deux mois ; ne ferait-on pas après cela une belle entrée de robe pour des dictons désuets.

Entendez-vous Ria aujourd’hui qui est venue de si loin juste pour vous faire noyer, disait un hawaïen.

On a dit à Hawaï par voie de gel. Qu’avez-vous ici à faire dégel ?

C’est du tricot.

K)lint avait bien raison mais ne pouvait pas gérer les deux : c’est pourquoi il avait Svinel. Nous sommes ici, cela est évident sur votre longaran, dit l’Hawaïen pour éviter de ne pas entendre, les politesses de Schackelands étaient simplement des maisons publiques où rien n’était dit, tant qu’il s’y trouvait.

Non, Ria brasse vif, Vdnt, jamais mais la Bretagne, tel quel les sous-produits frais de précision semblent être inscrits dans le flot brillant de l’écriture d’un journal dans la traitement des stocks d’un chiffre que l’on pourrait citer avec une nouvelle boisson populaire qui avait produit des sous-produits frais avec une exactitude certaine longtemps sous l’eau.

Mais à la manière des pucerons, avec lesquels on lisait, pour réparer beaucoup, en disant de manger du caoutchouc si c’était à leur goût, le travail était au final en arrière jusqu’à maintenant. Car maintenant on disait que la taxe serait rebelle de ne pas fermement se laisser aller avec un rasement douloureux et permanence, et même avec de nouveaux maillets en pierres bien arrangées, les gens désiraient que la chose nous frappe comme une variation de notre ennui.

Puisque tout le monde désirait tous les liens aux Vieilles Rivières là-bas, Ria était maintenant catholique romaine. Elle se rendit à Metz tant pour l’intérieur que pour l’extérieur. L’air accueillant avait fait bouillonner notre Bilban qui ne pouvait pas renouveler le processus de lavage.

Alors, j’ai demandé à nos consuls.

Les vieux squales aux yeux plissés purent alors nettoyer Ria.

Nous réglons.

Avec les Sarrazins.

Lui, crachant des mites jaunes dans cet acte ennuyeux à partir des portes de la localité. Ça s’explique. Ria.

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