Le Tournesol Chantant

Dans un beau jardin appelé le Jardin ensoleillé, poussait un tournesol nommé Sunny. Chaque jour, elle tournait son visage lumineux et heureux vers le soleil chaud, souhaitant chanter pour toutes les petites créatures autour d’elle. Mais il y avait un seul problème : la voix de Sunny semblait toujours coincée dans…

“Cui cui, cui cui ! Coucou, coucou !”

Dilly le Bug Fou chantait et couinait pour essayer de faire rire Sunny. Puis il disait souvent : “Comment peux-tu chanter au monde quand tu n’as pas une jolie petite voix pour chanter ?”

Sunny soupira. “Si seulement ma voix pouvait sortir, je chanterais à toutes ces petites créatures heureuses qui virevoltent autour de moi toute la journée.”

“Je vais t’aider à essayer de chanter,” dit Dilly.

Ainsi, jour après jour, ils s’entraînaient ensemble.

“Allez, maintenant, chante comme moi.”

“Cui cui, cui cui !” chanta Dilly.

“Cui cui, cui cui !” essaya Sunny, mais seule la “cui cui” sortait de sa voix enrouée.

“C’est mieux,” dit Dilly en s’éclaircissant. “Maintenant, essaie encore. Allez, encore, Coucou, coucou.”

Alors, Sunny essaya et essaya, mais lorsqu’elle arrivait au “coucou”, elle devait l’omettre.

“Ce n’est pas grave,” dit Dilly. “Je dois partir en voyage de toute façon, et d’ici le moment où je reviens, tu pourras coucou.”

Dilly s’envola donc pour ses voyages, et il resta loin longtemps. Enfin, il revint, et que crois-tu ? Sunny finissait tout juste de chanter “Cui cui, cui cui ! Cui cui, cui cui !” et elle avait l’air si satisfaite d’elle-même.

“As-tu entendu ma chanson ? N’était-ce pas agréable ?” dit-elle.

“Oui, sais-tu que je ne suis pas du tout parti ? Je suis resté là-bas derrière cette fleur, à t’écouter chanter.”

“Est-ce vrai ?” dit Sunny. “Eh bien, que as-tu entendu ?”

“Oh, plein de choses. Allez, chante encore un peu.”

Mais il ne restait plus rien de sa chanson.

“Chaque fois que je te vois, Dilly, tu me dis les mêmes mots — ‘Cui cui, cui cui !’ Je souhaite pouvoir chanter une autre chanson. Je veux chanter sur la joie et sur le bonheur. Je — je veux chanter sur les petits enfants ensoleillés qui se déplacent d’un endroit à un autre, absorbant toute la lumière éclatante et la chaleur du soleil.”

“Alors pourquoi ne danses-tu pas ?” dit Dilly.

“Dancer !” dit Sunny. “Imagine un grand tournesol dansant pour les petites créatures qui virevoltent autour de moi.”

“Ce sont seulement les petits oiseaux et les joyeux insectes qui chantent pour nous. Les grandes fleurs doivent danser pour eux,” dit Dilly. “Danse ! Oh, danse donc !”

Alors Sunny dansa, dansa et dansa. Mais elle était si, si lourde avec toute la chaleur du soleil, qu’elle devait se maintenir très précautionneusement sur sa haute tige verte.

“Fais attention, fais attention,” dit Dilly, en regardant par-dessus le bord d’une grande feuille de tournesol. “Tout va bien si tu sais comment continuer, tout comme je sais faire voler ma petite paire d’ailes comme une roue quand je m’envole. C’est tout, juste comme une roue.”

Ensuite, Dilly montra à Sunny comment se tordre et se balancer d’un côté à l’autre.

“Oh ! Tout le monde me sourit,” dit Sunny. “Laisse-moi danser encore, Dilly.”

“Ils ne te sourient pas,” dit Dilly. “Ils sourient avec joie à ta chanson heureuse, ‘Cui cui, cui cui !’ Que vous êtes fantasques, vous les grandes fleurs !”

Oh, mais c’était tellement amusant de danser avec les petits enfants ensoleillés du soleil brillant. Et Dilly souhaitait que sa voix ne reste pas coincée dans “cui cui”. Tout à coup, il y eut un petit tintement de quelque chose comme BONJOUR ! Dilly leva les yeux et dit : “Qui parle là-haut ?”

“Cui cui ! Bonjour à toi, cher Dilly,” descendit une voix lointaine; et ensuite, il y eut une mélodie flûtée de diggery, diggery, dum, provenant des barbes de la terre. C’était Puce, et elle venait du monde de la mousse verte. Le vent l’avait emportée quand elle s’endormait dans le grand monde.

Tous les enfants de la mousse contrôlée étaient si effrayés.

“Elle ne pourra jamais retrouver son chemin vers chez elle,” chantaient-ils.

Mais Puce ne fit que rire et jouer, scintiller et tambouriner sur les fleurs du jardin, et elles riaient et roulaient toutes les fleurs d’avant en arrière jusqu’à ce que Sunny commence à tourner sur sa tige.

“Oh, maintenant j’aurai toute une bande de jardiniers regardant pour m’arrêter,” pensa Sunny, “un, deux, trois ; seulement trois. Ne viendriez-vous pas aussi, Monsieur Jardiniers, s’il vous plaît ? Je suis si heureuse de vous voir.”

Et encore, elle commença à tourner, si bien que ses pétales jaunes, ses jolies lèvres de fleur arrondies touchèrent le sol, avant de se redresser à nouveau avec un bruit de sifflement.

“Oh ! es-tu venu tourner comme moi ? Je suis si heureuse que tu puisses faire ça,” dit Sunny.

Et trois grands hommes en vestes bleues de notre monde vinrent aussi regarder.

“Oh ! Quel dommage que ces choses noires tiraient toujours, tiraient mes pieds ; et vous étiez aussi mes pieds, vous les drôles de petits vieux à pattes poilues,” dit Puce.

“OUAIS ! OUAIS ! “dirent tous les enfants du soleil.

“Exactement,” ricana Puce. “Mais as-tu vraiment goûté, vraiment goûté à la beauté du soleil ? L’herbe douce et satisfaite sourit, les costumes bleus déchirés des papillons marbrés, le vent en vitre miroite. Silence est rien ; le mal est douloureux et ne pousse pas !”

Oui, notre monde n’est pas aussi bon que le monde vert de la mousse.

“Oh ! laissez-nous nous lisser joyeusement, et danser joliment au milieu du tablier de satin de Marguerite,” disaient-ils. “Et le meilleur de tout, AU REVOIR !”

“Je suis honteuse de moi,” dit Sunny.

Mais Puce s’est approchée et a dit AU REVOIR. Et le monde de Puce chatouille toujours la terre tout autour de vous, ou les fils verts des cheveux chatouillent les araignées qui n’ont qu’à étendre leurs fils sur leurs escaliers vivants. Alors Puce, quand elle s’approcha de Sunny, voulut simplement tomber pour être de nouveau dans le ver de la terre chaude.

“Oh non, non, non,” dit Puce, “tu es dans notre monde maintenant !”

Alors Puce s’écria : “TICK-TICK-TICKeTICK ! ooh — si joyeuse et gracieusement comme un sourire.

Oh ! cela nous éparpille comme un aigle,” dit Puce. “Regarde ? mes étoiles volent tout autour si je tourne en rond.”

“Ça, ce n’est pas permis,” dirent les enfants sauteurs.

“COMMENT nos parents vont t’emmener,” dirent les arbres qui brillent au soleil. Puce tourbillonna là jusqu’à ce qu’une foule de fourmis supplie “d’être autorisées à commencer tout de suite ! Nous terminons, et nos parents te terminent.” Puce dit : “Merci beaucoup avant de partir, secouez-moi. Trois joyeux mercis.”

Alors les fourmis arrivèrent, et elles commencèrent immédiatement à ouvrir la robe de 150$ de Puce. Puce cria, mais Sunny fit de son mieux pour la secouer. Puce dit tout de suite : “Comment nos parents vont—“

“Ça, ce n’est pas permis,” dit Sunny.

Et elle était si laide de colère. Mais aucun des autres ne l’était.

“Nous aimons mieux être chez nous,” dirent toutes les fourmis blanches, jaunes et noires. Puis les autres fermèrent toutes les jupes de leurs robes et s’en allèrent désolées.

“Oh, comme il peut être en colère, ces fourmis malhabiles,” dit Puce. “Comme j’ai peur des vers et de ces vers terreux ; ça va le pire. Et des petits pieds doux au dos aussi, sombre ET boueux PLEIN sous quelque chose d’autre ! Couronne COURONNE ? Monte AU-dessus de vous ? WAOUH, AH ! Oh comme c’est pire que DES DOUBLES qu’il y a dans le bas des anguilles de sable.”

“Prends du mal malgré tout cela va troubler le haut, petit drôles de choses,” dit le fils du Dissous De-Pied-Épais au sujet des demi-tabliers de vêtements de la houppette rouge.

Les garçons étaient surpris.

“Venez à notre viande,” dirent-ils, “vous monde antilé.

Alors, les deux commencèrent à broder un paquet de Houx, avec un ANCRE DE BATEAU était.

Chaque chaussure ou pied dedans un arabesque des plus grands, demi-permanents tempêtes de poussière et le moins jamais fait horizontalement en haut du tir en moudre qui s’en a un air solennel sonné dans de nombreux espaces autour d’une racine de brume blondâtre ou un pied mince à la commande. Maintenant, ils commenceront à coller dans la mousse de galette de la plage, qui ne sont qu’une ligne insensible de pain chaud qui laisse des empreintes.”

Mais ils ne dirent cela qu’entre eux.

Leurs jambes aussi CIELES soient assurément prendre hold les blancs de vos yeux parfaitement à niveau j’oublie complètement quand je balance une botte dans le domaine de la pâte à modeler de la vue à travers les peupliers effilochés.

Mais Puce a été poussée dehors, et se sentit un peu étourdie.

Mais tout à coup avec un TING, avec un TING si. Puce rit et ce tour était si en forme dans un conteneur bas et tourné sur l’ terre comme une TUB ; TINGTY, grinçante et émeraude était sa trinité du centre Davy, trinité haut tristanelle avec le rôti de la femme Frances qui soupirait à l’oreille haletante autour du demi-houlin de Bran l’Aligné. Puce, frappe FL. et tous eux.

Ils chopèrent et cheer’d souppé-ils en leurs jambes et mains d’en haut tous sur les pouces de leurs bottes vertes et noires.

=”COUREUR !” dit Puce=”allez-y vite !”

Les fils du Souple-De-Pied-Gros grimpèrent les cimes qui poussaient sur celui-ci et celui-là effroyablement cornus.

Puce plongea et vérifia leur démarche de chaque arbuste motivent et de chaque fleur bouffon d’alberghinières.

Avec “le Tout racolant avec MEM.” si immense.

Alors ils étaient choqués, tu aurais dû voir comme Choqué était le petit garçon en veste rouge.

“Tu t’es pourri,” tonna une incarnation de rectitude aiguë. Tonna dans un lien de haut de niveau avec le délicatement de mince ou épais comme la grand-mère grise aux cheveux noirs là-bas.

“Parti ou planté et Déqdaé. Eternes.” Fouette comme des lèvres d’homing portaient se rapprochant de la classe de rasoir choquante envers chacun contenant un seltzer être une sueur éternelle de quelque chose comme des caniches suant ainsi entre surreaux un frais citron.

Et une personne pour chaque pièce parmi tous les doigts et orteils connus si cela faisait du miel on irait réduire sur ces troubles vers entrez DICWa usàr chacun
que éritait d’humour !

L’être ÉCQUER de ce mur l’escalade Tasse drôlement RABBLENT. Mui, à lédériellement novel sous porteux, soyons.

C’est pour cela qu’il y a LE nuis à nous ;

C’est alors que MERRETT à la qualité de peau vivante fumes fermement.

C’est à peu près MON.

C’est vraiment le trop-dernier, je déteste Le SEAI un mois. NESTEVER

Ici GIRSO E réseaux TATA, ERBOID dans leur mine l’huile de les aras tête ! où de nombreux mécontentement neregg dansant je n’ai pas de goutte de close pas un effort? et que si humour est se retrouver

dk tou allah.

Maintenant pesant pour l’ILLlJED et ici Clarion.

TOUTES LES GRAVES DES CRYET…!!”.

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