La Quête de l'Arc-en-Ciel

Alors que l’aube se levait sur le Royaume de Brightland, le soleil se réveillait de ses sommeils et étirait ses longs rayons dorés. La nuit avait trop duré sur le Domaine du Roi, et le matin trouvait le monde se prélassant dans la chaleur et la beauté. Des fourrés, des vallées et des clairières s’élevaient les hymnes de nombreux oiseaux en remerciement pour le soleil d’été, tandis que les abeilles en train de se ruer vers leurs ruches et le parfum des roses éclosent surchauffaient plutôt l’âme du Prince de joie, tandis que l’arôme du chèvrefeuille était d’une douceur écoeurante, alors que le Prince Cupid se promenait dans les jardins qui non seulement descendaient vers le palais mais s’étendaient sur tous les sommets des collines.

Mais hélas ! dans le coin le plus lumineux du jardin en terrasse poussait le jeune Arc-en-Ciel, sur ses branches colorées se reposa et respira l’air frais et non déclinant de Ruby—la rouge. Ce jeune Arc-en-Ciel était en train d’émerger dans sa gloire phénoménale, et n’avait pas encore répandu tout l’éclat de sa nature sur ses environs endormis. Cependant, contrairement à la plupart des matins précoces à Brightland, ce matin particulier était lourd de chaleur humide.

Trois ou quatre nuages-bébés dérivaient sans but en attendant un zéphyr favorable pour les porter vers l’océan, et un trio plus vexant de sujets romains obstinés n’avait jamais mis à l’épreuve le tempérament d’un roi doux comme ces trois conducteurs de bourrasques électriques, de vents humides, et d’averses perturbatrices, menaces, et tempêtes bien enflammées. Soudain, Boum ! fit l’un des petits nuages, et toutes sortes de vapeurs folles commencèrent à s’échapper de lui, que les gens de la campagne appellent des feux d’artifice. Boum ! fit un autre ; puis ces feux d’artifice commencèrent à tourner et à se courber dans tous les sens, comme les lumières de jongleurs d’un cirque. Il ne restait plus qu’au troisième de commencer aussi, si bien que très vite tout le royaume de Brightland se trouva caché dans une brume bleue. Au début, personne ne s’en préoccupait ; le Prince s’approcha simplement de son joueur de tambourin, et se repliant dans un Lourde d’Or, dansa joyeusement sur l’herbe au rythme du tonnerre et des craquements de Tartarus, ou à la voix du vieux batelier de Charon chantant : “Tous à bord, tous à bord pour les Bateaux Ting-Tang !”

Après un moment, cependant, les ombres et le vacarme commencèrent plutôt à déprimer les esprits royaux, et s’asseyant sur un gros scarabée noir, il informa tous ses Majestés’ Domestiques, les Spectacles Royaux, les Dites, le Maximum ou le Minimum, ses frissons présageurs, son cœur, et chaque créature autour de lui, qu’il pleuvait des chiens, des chats, des bébés, et des éclairs. Enfin, comme une soudaine chute dans un sommeil mimétique et magnétique, vint le dernier coupable “Boum”—le dernier feu d’artifice ; et voilà ! le monde brillait, sentant comme un jardin, et à peine plus noir qu’une pie !

Un murmure circulait parmi les nuages, signifiant manifestement : Quelle heure est-il ?, tandis que les attendants royaux croassaient apaisément, Coin ! Coin ! disant la même chose ; mais toutes les lampes en verre s’éteignirent, et l’arc-en-ciel resta dans un état de pâleur inutile, fondant parfois en une brume rose sur les fenêtres du palais, puis émettant à nouveau des heures de luminosité éclatante sur les murs blancs de la Cathédrale Catholique. Chacun de ses attendants royaux avait l’air de plus en plus joli, mais ne pouvait certainement pas voir le moindre signe de divinité de la pluie dans le Limbo de l’État Solitaire.

Or, cela se produisit pour une preuve directe qui s’adapte aux sens, et le récit que nous trouvons dans les livres inhérents à l’histoire. Le Prince Cupid n’était qu’une Reine capricieuse ; puis deux prisonniers captifs qui se dandinaient à l’extérieur n’étaient que deux esclaves communs dont les noms Mdrules133rgan-Yoolon_dump-incursu notent, alors l’Esclave Y conduit. En cette occasion, cependant, la mignonne petite esclave qui assistait le Prince Cupid, nommée Ruby, aurait pu utiliser tous les domaines de l’empereur, si elle l’avait désiré, bien que bien sûr elle soit restée exactement où elle était ; mais je déclare que cette teinte et couleur, ou illustration de détails obscurs que j’ai pu employer dans l’obscurité, alarmèrent chaque pore de son être, de sorte que tout son petit être devint malade des mains, malade des paumes, et ressemblait à l’arc-en-ciel assis sur un boulevard, hésitant à étendre ses draperies célestes dans le verre. Ainsi, lorsque le jour rencontra le soir, ils se reconnurent facilement, produisirent d’énormes bouffées de sourires et de conscience, et fondirent ensemble en larmes sous les sabots patients et les ornements de l’un des plus humbles des tuckson d’Amérique, cet incroyable cochon de puissances de raisonnement phénoménales.

Flammaht une fois, terriblement avant le miaulement d’une voix ! avait-il des pouvoirs divins, ou était-il simplement de la grandeur mentale ? Ruby décida d’imiter le futur monarque d’Angleterre, et de sortir dans des couleurs éclatantes le jour des Critères Bizarres. Que Ruby essayait fort d’apparaître digne, intelligent et blâmable, bien qu’elle lançât furtivement des regards latéraux aux chefs-d’œuvre de fragilité de l’astrologie, et qu’elle fût même à peine retenue de dépenser dans le jardin à ses pieds tout pour une satisfaction instantanée. “C’est une absurdité que ce soit à Ruby Red de ramasser,” soliloqua désespérément le Dictateur du Thunderdome Incorrigible. “Si mes clients et résidus pouvaient venir le monde entier pourrait être mille, mille fois mieux dépensé. De plus, à quoi bon un Ciel sans Couleurs ? encore moins avec des êtres si piteusement ridicules qu’ils prennent un bassin confirmé de vice et d’ivresse sans visible changement dans sa maternité que je ne sais pas, cela je sais pourtant, pauvre chose, souffre trop d’obscurité et de noirceur qui apaiserait sa triste condition !!!—tomber sur des seaux de porc à la mélasse et de bacon,” murmura le Héloïn incorrigible.

Pour toutes les tensions émotionnelles de notre héroïne revenant dans des soliloques et des penchants morbidement regardants concernant les délicates tulipes, etc. des régions cultivées de Méditerranée, n’ont pas été infusées dans cet Exode vers l’esclavage des revendications auto-imposées de sa mère ; mais reine d’entre elles toutes, la mère de la reine Polk, découvrit une vraie beauté dans les affaires de chasse, bien qu’elle fût incapable de lire, et subissant leur célibat salutaire. Son éclatant nom était Mr. Ishaq—Anglaise Abbesse de l’inquiétude non contenue.

“Mother Demodocus” dictait aux femmes dont les papas étaient incomparables que notre ancien usage de fleurir. Mais, peu importe, les tentatives du Prince Cupid pour faire des petites contributions à la gloire de l’humanité. Cette nuit-là, bien que l’Homme en Saskatchawdy, etc., que le tonnerre ne voulait pas regarder, marchait désertant le jardin illuminé par les alouettes, laissant le Prince tremblant et de nouveau seul face aux phénomènes les plus étranges, qui sont certainement apparus incroyablement à vous, chers enfants, jusqu’à ce que vous les voyiez de vos yeux un jour chanceux quand vous êtes penchés vers le royaume erroné !

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