Il était une fois, comme le dit le sage et ancien Livre des Jours chaque fois que l’on raconte l’histoire d’un gobelin forestier, un petit gobelin qui faisait rire chaque branche de chaque arbre dans les Bois Fantaisistes. Et il n’avait aucune raison de le faire, car ils n’avaient pas encore assez vécu jusqu’à ce qu’il soit parmi eux. Mais ils riaient tout aussi joyeusement, tout de même — ils ne pouvaient s’en empêcher — bien qu’ils ne sachent pas pourquoi ; un signe indiscutable de la nature gobeline dans les mousses ou des fées qui pouvaient passer sur leurs affaires médiévales en leur sein.
Alors ce gobelin prit courage, et s’engagea dans certaines manières de malice, et plus il semait de malice, plus les cris d’effroi et de surprise émergeaient de toutes les créatures à quatre pattes et celles à plumes autour de lui. Mais de ces cris, il ne prêta néanmoins aucune attention ; et j’ai peur que les mousses dont je parle se composent principalement de choses qu’il avait faites, qui n’auraient jamais dû être faites. Mais alors le gobelin était si très, très petit — de la taille d’une petite pomme — que de nombreuses souris ou petits oiseaux espiègles, assez joyeux pour jouer à sauté, esquivé et glissé avec le gobelin, ne se seraient pas abstenus de le faire, moi allant devenir impertinent même dans une cour, pour l’amour d’un peu de camaraderie sur le vieux plaisir du jardin d’enfants des garçons ou des filles, il n’est que la taille d’une souris.
Alors, un beau matin, le gobelin sauta sur ses pieds et pensa qu’il ne se reposerait jamais avant d’avoir réveillé tous les habitants de la forêt. Il fit un bruit extrêmement long avec ses doigts et frappa sa tête sur ses genoux aussi longtemps que n’importe quel vieux oie grise, ou n’importe quel autre inclination, pouvait rester sur quelqu’un d’autre sans changer une seule partie de son corps. Cela fit bâiller tout le monde ou ses jeunes compagnons, ou d’une manière ou d’une autre garder un état d’excitation inconfortable. Et il était heureux qu’ils ne puissent pas retomber dans leur première sieste, car juste à ce moment-là, Gilly marcha sur le nid d’un merle, très doux sous des pieds ordinaires, mais la merle et son mari étaient à l’intérieur, sinon j’ai peur qu’ils ne lui aient tiré les orteils si fort qu’il ne put s’empêcher de crier dans l’état le plus fort ; mais il était aussi si extrêmement petit et léger qu’ils ne parvinrent aucunement à faire quoi que ce soit avec lui — toute la famille s’envola pour consulter un conseil de hiboux à ce sujet. Pendant ce temps, Gilly avait fait nettoyer leurs cloîtres dans ce genre d’anneau, paraissant d’abord comme rien de très particulier, et allait juste s’endormir sur le fameux comme un grand prêtre comme dans d’autres contes de vrais gobelins d’antan, très, très loin, quand tous les êtres à quatre pattes arrivèrent en masse, curieux.
Maintenant, le maître et la maîtresse merles avaient appris du propre sang du hibou à pincer les gobelins par les petits orteils, si vous pouvez l’imaginer, lorsqu’ils prennent toutes les précautions nécessaires pour résister aux guenilles, coulant le long d’eux du bout à la tête, de peur d’une chose plus lourde comme du charbon de pin tombant sur eux, ils découvrirent donc bientôt la principale faiblesse du gobelin — c’est-à-dire une correspondance avec la vôtre, la mienne ou celle de n’importe qui dans l’univers, peu importe à quel point elle est laide ou ridicule, lui-même excepté, laissons le conseil de Gnatlight - à savoir, tout ce que nous pouvons le moins porter, ou le moins vouloir retenir dans notre corsage, car il est absolument certain que les gobelins, aussi vieux et forts ou accomplis soient-ils, ne sont pas plus robustes ou durs que des princes purs et de l’acier princier dix fois plus sévères. Gilly dormait si profondément avec la chaleur du soleil de cette forêt joyeuse que le petit établissement mentionné dans ses noix sur le sommet de sa tête était plus que suffisant pour rassembler la suie en pincées pour durer toute cette journée heureuse. Alors immédiatement l’apoplexie de glace lui donna du coude à l’épaule.
Dès qu’il fut sûr de le faire, le merle et sa famille filèrent de nouveau dans le terrier, et avec tous les fonds rassembleurs que le papa oiseau avait pu amasser par le montant de leurs finances privées, la cargaison de suie fut dépensée. Et voilà ! Du snot féérique sur sa casquette, le petit gobelin fut réveillé à l’aube du lendemain pour découvrir qu’autour de lui tout ressemblait à autant de cadeaux de Noël attendant d’être ouverts. Même la louange du gobelin d’en haut ne vaut ni n’apporte de quoi pousser ou tirer, ni empêcher le ramoneur de s’aventurer sans un rhume violent, je ne peux pas dire : pour exciter tous les plumages à quatre pattes, il fallait bien qu’ils essayent la manière humaine de leur nid pendant que les petits folk soufflaient chacun en essai dans ses bâtons.