Le Loup Gentil

Dans la Forêt Amicale, où la lumière du soir dansait avec les ombres, vivait un loup doux nommé Willy. Différent de ses semblables, Willy avait un cœur plein de gentillesse et rêvait de se faire des amis parmi les habitants de la forêt. Malgré sa nature calme et aimante, les lapins, écureuils et autres animaux le craignaient simplement parce qu’il était un loup. Chaque fois qu’il s’approchait d’eux avec des intentions amicales, ils s’enfuyaient de peur ou le regardaient avec des yeux tremblants.

Un beau soir, Willy se promenait dans la forêt avec le cœur lourd, réfléchissant à comment il pourrait transformer la peur des autres animaux en affection. “Si j’avais un pelage doux et laineux,” soupira-t-il, “ils me prendraient pour un mouton et viendraient vers moi.” Mais hélas, il était un loup avec un pelage gris luisant et des dents aiguisées – des caractéristiques peu idéales pour se faire des amis parmi des animaux proies. Cependant, Willy était déterminé. Il décida d’inviter tous les animaux à un festin et de préparer un repas qui montrerait son esprit doux.

Willy connaissait un fils de fermier qui était très friand de oies et avait l’habitude de les voler quand il le pouvait. Willy lui proposa de partager s’il amenait les oies à sa tanière. Le garçon était ravi. “Je t’en apporterai quatre,” dit-il, “et tu dois me promettre deux d’entre elles.” Ainsi, le lendemain, il vint, chaque oie attachée par la patte avec une longue corde.

Willy accueillit ses invités avec de nombreuses gentilles paroles, et tous semblaient déterminés à se comporter gentiment envers lui. “Venez faire une course avec moi dans la forêt,” dit-il à une douzaine de lièvres qui étaient assis à la porte. Ils partirent, Willy leur montrant les meilleurs coins de la forêt, ses yeux scintillant de joie. Mais ils ne pouvaient oublier ses dents ; lorsqu’il proposa une course sur une petite distance, les lièvres s’excusèrent. Cependant, Willy avait ses amis laineux, les moutons et les agneaux, prêts à être présentés aux lièvres.

“Quand vous aurez fini cela, nous terminerons ce qu’il reste,” dit Willy.

Pendant ce temps, deux des nouveaux invités se mirent à coin-coin d’une manière des plus sympathiques. Si affamés étaient les lièvres qu’ils continuèrent à manger pendant que Willy montait la garde, mais bientôt un lièvre leva la tête pour dire, avec un cure-dent dans la bouche, “Va donc voir si le bec de l’oie ne devient pas sec.”

Se rappelant simplement l’histoire naturelle, Willy commença à s’éloigner en se dandinant, et dans le désespoir, les lièvres prirent ce qu’ils pouvaient avant son retour. Cependant, Willy veilla à ce que ses invités, les moutons et agneaux, aient leur part convenable, mais malheureusement il réussit à les engloutir avec les lièvres, montrant ainsi une mentalité des plus peu amicales.

Entre-temps, Mademoiselle Putois avait aperçu de quel côté le vent soufflait et se débarrassa donc de ses oies, mais le vieux fermier arriva plus tard à leur recherche et demanda à Willy de les avoir vues. Willy dit qu’il n’en savait rien et ainsi l’affaire fut réglée en faveur de Putois, mais elle ne festoya plus avec Willy.

Alors Willy organisa un bal auquel il invita tous les animaux de la forêt, mais lorsque le moment vint de valsoter avec ses agneaux ou ses amis laineux, il, avec la permission du chasseur, devint Dandy et dans cet humeur inattendue gambada librement à travers la forêt, tournant à l’envers, à la grande surprise des lièvres, et avec eux courtisa une jeune femelle ancienne. Cependant, sur son chemin, il proposa de ramener à leur mère les six petits que l’animal qu’il venait de convaincre de mariage avait envers lui. Mais les loups étaient inopinément sombres et Willy fut repoussé.

Mais la Déclaration de Willy à une seconde chance avec Willy fut en effet rejetée par chaque femelle présente, mais il était plutôt une personne familière - quand il mourut nous ne sommes pas tout à fait sûrs, il ne s’agit donc que d’un simple murmure. Mais nous pouvons assurer aux crédules (et cette remarque convient incidentellement aux japonicas) qu’il savait même lorsqu’il était adulte conduire plus d’un joli chemin.

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