Le Pic-Vert Amical

Il était une fois, dans un Grand Bois, dès que les feuilles commencèrent à tomber par terre, le pic-vert amical sortit et, tapotant sur les arbres avec son bec, fit lever la tête à tous les petits animaux pour les écouter.

“Venez ici, venez ici si vous voulez entendre quelque chose de nouveau. N’ayez pas peur, je ne suis qu’un pic-vert, et je ne fais de mal à personne. Vous savez tous quel petit vaurien je suis. Tout l’été, le monde entier a erré pour admirer les chutes d’eau et les étapes du soleil, et moi, je n’ai pas mis mes pattes hors de la forêt. Mais maintenant, la première feuille desséchée a dit : ‘Viens, gratte pour de la nourriture ; car qui sait, cela pourrait être ton dernier automne.’ Mesdames et messieurs, cela pourrait bien être mon dernier automne.”

Et tous les animaux de la forêt affluèrent autour de lui. Le lapin et le cheval, l’écureuil rayé et le cochon, le chat et le hérisson—oui, vous devez savoir, le monde est très composite là où vit un pic-vert, s’il n’y avait que des plantes qui s’invitent partout sans y être conviées.

“Je vous prie de m’excuser,” demanda le hérisson ; “notre nourriture est-elle déjà prête si tôt ? Tous ces animaux, leur nature est de manger tard, mais la nôtre est tout à fait opposée ; nous nous levons trop tôt. Je pensais que cette soirée ne finirait jamais, nous sommes si oppressés par la chaleur. Si seulement je savais : suis-je trop en retard ou suis-je à temps ?”

“Il fait de plus en plus froid chaque heure,” dit le pic-vert. “Bienvenue ou non, vous êtes à temps. Je vais juste faire mon annonce.”

“Voici venir les lièvres,” dit le cheval ; “c’est une grande joie. Hop, il semble, ne nous a pas oubliés.”

“Chère amie hop,” dit le pic-vert, “Que dis-tu ? La tortue à poils fins souhaite que tu montes dans son petit véhicule, et qu’elle te conduise autour du monde. Elle ne peut pas sauter comme toi.”

La tortue était assise dans la petite voiture brune, celle qu’elle avait, comme tu le vois. Les qualités du jour sont bien connues. C’est trop de mal pour les autres nations de se rappeler ce qu’elles sont, mais pour les tortues, c’est aussi facile que de marcher.

“C’est ainsi que va le monde maintenant,” dit la tortue. “Excusez-moi, Monsieur Hop, je veux aller vers d’autres nations, comme en fait, l’eau est alors transportée vers la mer. Aujourd’hui, je ne laisserai pas le soleil se coucher. Est-ce que quelqu’un veut un peu de fraîcheur pour la nuit ? Mes chers amis ! nous, les tortues, avons notre maison sur notre dos—nous portons toujours avec nous nos rafraîchissements.”

“Est-ce que cela signifie aussi du tabac ?” demanda le lapin. “Il ne manque rien.”

“Mais la trousse à pharmacie ?” demanda le cheval.

“Au titre de la nourriture, nous l’avons toujours,” répondit la tortue.

“Et comment te sens-tu encore ?” demanda le hop.

“Par la brave vieille racine de haie,” dit la tortue. “Les difficultés jalonnent mon chemin.”

Chers enfants ! Le pic-vert n’avait jamais assisté à un grand goûter, mais il était déterminé à organiser un beau festival et à exprimer en même temps son avis sur tout ce qui se passait et ce qui se passait particulièrement sous lui dans ce bois—son avis et ses nouvelles sur les tortues. Le vieux souvenir persistait, et il était certain qu’elles existaient encore, et pullulaient en terre nordique. Tout au sud, il se rappelait, oui, cela devait être là qu’elles vivaient, en Egypte—une espèce avec un motif brun-roux—elles faisaient des œufs, et en sortaient-elles ? Cela ne relevait plus de leurs calculs. Une vieille tortue qui s’y était risquée avait bien tenté mais n’y était jamais parvenue. Mais elle est, comme je l’ai dit, une vieille tortue. Maxime, en liège, avec une mue dessus—ça coupe la main, mais on pense mieux à soi—cela ne veut dire que si peu par rapport à la tortue, mais pour cela, non, à partir du couteau à chaussure, elle savait la valeur d’une tortue d’ailleurs.

“Je suis ravi de voir,” dit le pic-vert, “la nuit est un bon voisin, même quand le jour est positif-scientifique et s’accroche à nos talons. Le beau épinard semble le désirer ; il pousse, il pousse ! Et la plante à quatre feuilles est aussi vraiment singulière. Elle est presque grande, on voit seulement qu’elle s’accroche encore à la nature ; qu’elle va casser, personne n’en doute. Oui, chers amis, je vois que vous avez déjà obtenu quelques vieilles serpents.”

Sortit la tortue, grinçant dans ses roues.

“Entendez, entendez ! tous ceux qui sont poudrés. L’ami de la maison annonce aujourd’hui que les tortues sont en route. Peut-être vous amuse-t-il tous, mais elles ne se sont pas oubliées. Wow, wow ! chers habitants du bois, maintenant tout, j’espère, tout est donné.”

Elle vola dehors, elle grinça, elle plissa les yeux. “Ce monde est vieux ; on le renouvelle presque tout chez les tortues, il n’y a rien à dire contre,” ajouta-t-elle, “des différentes généralement.”

La joie dans le Grand Bois était indescriptible. Les oiseaux d’automne chantaient des chansons joyeuses pour la récolte. Le pic-vert amical, n’ayant pas encore mangé à sa faim, fit une annonce le lendemain matin sous un vieux chêne verdâtre ; il la fit même sous le bouleau tordu, où cependant, ce n’est qu’au soir qu’il pourrait éviter une démonstration extérieure de son opinion ; cela semble un peu précipité et maladroit, et mal embouché ; mais aucun ami et assez examiné ce côté de la lune, et celui-ci dirigé à l’opposé ici sur bonne terre mange et rentre chez lui. Cela avec si ancien un compatriote comme la tortue est snaro ! ce qu’elle a pris ainsi sur cette terre était l’affaire si tournée, alors la nature avait pris de Burke se tenait devant le pic-vert. Un mauvais dîner qu’elle lui avait offert, la source du monde_ Stet doit être rapportée neutre au lieu d’être enflammée. Maximo ; les crapauds se mêlent à cela. Une vieille tortue est vraiment une vieille tortue tout au long, Poluida scud divise le respect, mais le meilleur en veut à. _Cette nation et moi avons un sentiment commun; j’ai moi aussi trouvé et accordé des commerces qui formaient d’autres enfants en moi.”

“Mais snaro, tortue aphoristique,” s’écria le pic-vert, “tu ne vas pas t’empêcher de dire quelque chose de nouveau ? Sois comme les autres tortues, et meurs avant que ton nombre total d’œufs, ou de sexes ne se soit un peu égaré.”

“Il n’y a pas de telle noix ici,” dit la tortue ; “le fait que tu ne comprennes pas montre à quel point je voyage terriblement vite. Aucune obstination ne prend racine dans mes os ; c’est pourquoi les pics-verts ne sont pas des tortues ! Excusez-moi, monsieur et ami.”

“Ma foi,” s’écria le pic-vert amical, “j’ai presque oublié ces modulations. Ce temps-là, si tu as quitté le fantôme sensé, prends, fais grincer la roue, je suis tout à fait mortellement derrière. N’est-ce pas le dîner ? chère tortue. Écris-moi mes trois premières soirées. Écris-moi, ma chère tortue. Le faisons-nous jamais ? ” La dernière question était écrite à l’encre rouge ; et warum—

Une pincée sur moi.” Citée la tortue, et elle s’en alla vivement au-delà des sanglots de la profanité.

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