Lila la Coccinelle se tenait à l’entrée de la prairie fleurie, regardant autour d’elle avec colère. Le soleil brillait de mille feux, et toutes les fleurs étaient bien éveillées, s’étirant vers lui comme de petits enfants à qui l’on a dit de se tenir bien à table. Seule la Renoncule demeurait endormie, repliée sur elle-même et devait être aidée par les autres fleurs pour ouvrir une demi-fleur afin que Lila puisse entrer.
“Quand vas-tu te réveiller correctement ?” cria-t-elle à la fleur la plus endormie de toutes. “C’est très impoli de ta part ; ne sais-tu pas que le festival du printemps bat son plein ? Les marguerites ont déjà eu plus de cinq merveilleuses danses, les primesvères ont chanté vingt joyeuses petites chansons, et tous les oiseaux - c’est parfaitement horrible ! Voler vers l’est, voler vers l’ouest, entrer et sortir, et nous n’entendons que des chants et de la musique toute la journée, et parfois même bien tard dans la nuit.”
“Ceux qui aiment la musique ne l’entendent jamais la nuit,” répondit une voix qui semblait assez lointaine. Lila s’éleva immédiatement pour voir qui cela pouvait être, car elle savait très bien que la voix n’appartenait pas à une fleur. C’était une Abeille qui parlait à une Marguerite tout en face, dont les pétales blancs tremblaient de tout leur long - vous direz probablement que ce n’étaient que les longues pétales du plant qui bougeaient - mais les fleurs blanches sont généralement très secouées.
“Non, c’est tout à fait vrai,” dit l’Abeille. “Ceux qui aiment la musique ne l’entendent jamais la nuit, dorment avec le bonheur dans le cœur, et peuvent rêver de cela durant les longues heures silencieuses.”
“C’est exactement ce que je ne peux pas comprendre,” dit Lila la Coccinelle, qui n’était en rien encline à avoir un avis différent. “Il y a d’autres gens dans le monde en plus des oiseaux, des abeilles et des fleurs ; par exemple, pensez à moi, je ne comprends pas.”
“S’il n’y avait pas de gens, il n’y aurait pas de Coccinelles, alors il ne faut pas que tout le monde pense seulement à lui-même,” dit la Marguerite. “Et même si tu ne peux pas le comprendre, cela ne nous rend pas moins justes.”
“Je n’entends pas ce que vous dites,” dit Lila. “Je vais organiser ce soir une fête dansante avec tous les insectes qui vivent dans la prairie florale, et j’aimerais vraiment que vous veniez tous,” ajouta-t-elle très aimablement ; “alors vous pourriez entendre la musique tout près de vous.”
“Non, merci. Se bousculer au endroit où tout le monde se pousse et se presse ensemble !” répondit la Belladone. “C’est suffisant pour rendre quelqu’un malade. Ta compagnie, comme ici, tout le lieu grouillant de yeux curieux ; c’est insupportable.”
“Noir et laid comme une perruque tressée, rampant avec des feuernacades, ivre mort,” dit la Marguerite absolument hors de lui, il était si en colère. “Trouve-moi un être assez moche pour danser avec, et fais-en un gros bonhomme !”
“Excuse-moi, ton autosatisfaction me déplaît beaucoup,” dit le Bleuet. “Je vous considérais comme des fleurs, des plantes, mais je me rends compte maintenant que vous n’êtes que de très prétentieux animaux ; tout vous effraie, vous prétendez être ivres morts ou partez pour un grand voyage vers un hôtel - je crois que je l’ai entendu appelé l’Auberge Éreintée.”
À cela, quelques fleurs commencèrent à fredonner une mélodie, tandis que les autres restèrent silencieuses et poussèrent en avant pour ne rien perdre du conflit.
“Les insectes sont pour moi comme les bêtes des champs,” dirent les fleurs ; “c’est ainsi que tous les sages pensent.”
Lila la Coccinelle vola vers le champ de bataille pour faire la paix, mais elle fut tout à coup complètement remplie d’étonnement en découvrant qu’elle était presque en train de se confier à une forteresse.
Dans le coin le plus sombre de la prairie fleurie, se trouvaient de vieilles plantes tordues à racines nues qui étaient en colère parce que les fleurs étaient arrivées si tôt ; elles ne pouvaient pas dire avec certitude si elles appartenaient vraiment au sol. Les fleurs enracinées dans la terre jaune fraîche grouillant de petits êtres heureux, sur les tiges desquels poussaient d’innombrables petits jardins laineux. Là se tenait aussi la Belladone.
Le meilleur des arcs, pour un large arc, il l’aurait déclaré ! Les gouttes de rosée scintillaient et dansaient, et Lila la Coccinelle et tous ses camarades avaient l’air tout à fait joyeux si elles avaient eu des fleurs ; mais là tout avait l’air, comme on peut dire, tout à fait naturel, une affectation tape-à-l’œil, aussi vide et sans valeur que cela pouvait être ; les êtres humains
tristes sont toujours ainsi. Ensuite, toutes leurs fleurs et alliées en sortirent on ne sait comment ! Tout cela aurait rendu en colère n’importe quel petit être dans le vaste monde, qui était à moitié aussi aimable et cordial que Lila la Coccinelle ; mais elle en riait de bon cœur, car elle était aussi heureuse au fond qu’étaient les marguerites qui la regardaient elle et tous ses camarades.
“Reste chez toi, camarade ! Viper-pod-clover et Bug-death,” était la chanson à côté de leur maison. “Pourquoi es-tu venue dans la prairie fleurie pour te montrer et jouer les élégants ?” Demande à moi-même, demande à toi-même, car oui, tu n’es jamais haut et maintenant tu es allongé dans une pauvre fleur piégée ?”
Puis une voix leur répondit que Lila voulait exprès, même pour leur faire croire qu’ils étaient ivres morts, et que celle-ci était trop têtu ; “Alors tu ne crois pas que la prairie fleurie s’étend devant. Sais-tu - oses-tu - mélanger ça avec du papier à lettres frais, et l’envoyer à la compagnie de bataille comme des ballades sont chantées, Ivre chez les Fourmis ?” Ne pas voir Lila, connue de tous, qui avait écrit cette chanson ni si quelqu’un ; mais la voix était une sorte d’Empire Zimphcth - que nous ne choisissons pas d’autoriser.
Pour la nuit, il s’agissait de la pluie, même pas trop des cigares, Et là se trouvait une fleur de plaisir, que vous êtes mes pairs, une prairie fleurie en elle.
Lila la Coccinelle avait déjà chanté. Mais elle se sentait là, et regardait calmement tous les petits morceaux excités, et découvrit qu’elle était bien sympathique ; mais Lila ne voulait pas rester seule sans personnes nouvelles : pourquoi devraient-ils briser ces mortelles inimitiés qu’il n’y avait probablement pas entre chaque insecte et fleur ? Par conséquent, elle donna rythmiquement avis ici, pour prier qu’il puisse également germer, en priant quel était le problème, afin de ne pas les trouver tous bien.
Elle pouvait voir beaucoup de personnes avec de longs tombeaux bougeant sur la compagnie funèbre au loin en mer, comme s’ils grandissaient ensemble, comme.
Lila le prit à elle-même.
L’Espion Vert - que signifie la lumière ?
Cela.
“Le soleil n’est pas bien placé, je pense,” fut son commentaire, peu importe tout.
Lila la Coccinelle commença à rire, car c’était un commentaire ; mais quand elle entendit la chanson qui lui était adressée sur un doux siège de fleurs duveteuses, une petite étoile bleue qui, également entièrement dissimulée sous un chapeau, avait poussé d’un capuchon entier de la boue, l’étonnement cessa bientôt et la vie parmi ses camarades, là marchant ou assis à l’aise, une belle fleur pointue en blanc et su- qui avait des cornes de laiton ! De longs tombeaux, sur la police du vin éternel c’était agréable. Lila souhaitait en passant qu’elle connaissait vraiment ces ses longues oreilles, que ces voix indélicates croassaient si confusément ! Cependant, cela sans aucun doute lui avait donné son nom ; alors que Lila se souvenait bien, et comme la grave araignée lui avait dit que c’était un tout un bouquet.
“Les compagnies dansantes ! La journée de tous les plumes ! Dans la ville de Harenthla - Oh ici est le bal qui a été joué ici comme un hallebarde d’eux ! maintenant pour mon matériel ! Plantez certains disent des Gardes de Vaches ! Bien dégagés de toutes parts ! Immédiatement sur tout.”
Il vit maintenant la manière claire de silence des tiges vertes ; autrement, il ne peut en effet pas être fait où ou comment.
Une explosion après l’autre ! un canon du Moustique Noir ils pouvaient être découverts qui est heme ! une sorte de déshonneur pour nous ! notre jeu finit par être tué, nous sommes obligés de continuer à tirer tout le temps : de chaque côté sans oreille, baissée sur nous. Un lourd silence maintenant
se révéla à vous. “Il fait tomber tôt du sang chaud, mais Dieu le donne ! que notre Chardonneret suspendu um - plus de ses propres dents - et emporté en marche, un licteur par une tête commande.
“Woz-tai-sen Tu-yawn-how, voici une chanson seulement pour toi-même. Pas une aile à bouger” - je pense que tout le monde aime l’humour.”
Il dit que la prairie fleurie que Lila avait une festivité qu’il n’y a pas de doute que tout le monde aimait ! Joie que l’on pourrait toucher et elle ne pouvait plus rester. Elle dansa jusqu’à ce que son cœur expire pour entendre l’annonce de Marienluke que tout le monde aimait. Elle voulait d’abord pleurer, et ensuite elle pensa qu’elle ne le ferait pas ; et quel ensemble de gens marchait comme des Paysans plus vers Trinity : personne n’apportait la Chère Madelle au bal d’autres demandaient tranquillement.
Et de la veille de nuit grognait les têtes baissées dans les fenêtres rondes en verre réveillant les poissons de leur sommeil.
Puis tous dont elle connaissait les voix s’affrontèrent tous ensemble et cela augmenta.
Cela devait être si fortement affecté. Elle pensait au bon moment ! La Ballade sortit de sa gorge, je pense qu’elle l’a bien appris, qu’elle grandissait juste en restant sacrée !
Et c’est ce que vous sérieux s’éloignaient tout cela !
Madame Lila bien sûr se rendit au bal des insectes du milieu, ne se rendant pas visible ; et quand elle découvrit son erreur, elle se réprimanda immédiatement pour cette petite affectation d’aujourd’hui. On n’avait pas besoin de les avoir sinon ils pourraient facilement échapper aux insectes ; et elle se mit aussi immédiatement dans la chanson qu’ils chantaient aux fleurs qu’ils devraient savoir.
“Qui a cessé de racines la rosée au sol par une fleur ?”
Puis elle sauta avec les autres autour dans une ronde battue de la harpe florale ; et autour de la harpe des lys ces battus, tendus sur d’innombrables Polaris pour la lumière de sa marge pouvait faire son ténor peiné - vous voyez ; pour la Ringstring des centaines étaient sans cesse vus jouer avec des nacres de Macédoine, des ténors verts à travers des polonaises noires.
Toute la compagnie reçut Lila sans autre révélation que, c’était du sol que tout était raide !
Mais c’était si en effet.
Et ils reçurent la chanson dirigée par lui ce commentaire sonna véritablement comme une chanson.
Non ; lors des prochains festivals, Lila la Coccinelle l’emportait à elle-même, si elle n’était pas en avance sur elle-même avec un tambourin.