Le Renard Astucieux et le Hérisson Effrayé

Un matin ensoleillé, un hérisson tremblait sur le bord d’une rivière, scrutant les courants avec peur. Il était effrayé à l’idée de traverser l’eau tout seul, et, regardez ! un renard s’approchait par le chemin du bord. Alors il l’appela, “Hérisson ! Hérisson ! Veux-tu traverser la rivière ce matin ?” Maintenant, il était bien connu dans les bois qu’un renard était un ami des plus dangereux.

“Oh, non pas un mauvais ami ; il ne te mènera pas dans des pâturages interdits, ni ne lâchera ses chiens sur toi. Mais cela revient au même. Aucun ami n’est un bon ami qui a une queue trop longue. Un pied dans sa bouche et un autre dans l’autre pourrait passer : mais quand il s’arrête pour entendre ce que tu dis de ses propres oreilles, et qu’il prend une bouchée de n’importe quoi en passant, il y a trop de queues. Que dis-je ?” C’est ses oreilles que je veux dire, avec son nez dans sa propre bouche. Son cousin, le joyeux minstrel en bas dans les criques, va très bien, car les renards sont des putois et des chats par chez nous, tous les deux. Mais je veux dire que les plus longues oreilles que j’aie jamais connues étaient celles d’un certain renard qui vivait à notre propre porte à Grimsthorpe. Maintenant, le renard de Grimsthorpe avait un discours à enseigner à tous les venants ; c’est la seule chose que nos camarades savent ; et une bonne chose est qu’il peut prendre son chiffre aussi bien que son rien ; mais aucun renard ne garde un apprenti qui ne peut pas dire, “Le prêtre pieds nus a mangé ses caillés blancs sans miel.” Mais nous digressons.

Il était bien connu que les animaux conseillaient que les renards vous conduisent toujours dans le danger ; mais le hérisson pensait qu’il savait mieux, et devait y aller. Alors quand le renard s’approcha, il lui dit, “Hérisson ! Hérisson ! veux-tu traverser la rivière ce matin ?” “Je serais heureux de le faire, Monsieur Renard,” dit le hérisson : j’ai peur de l’eau. Penses-tu que tu pourrais me donner un coup de main sur ton dos ?”

Bien que tout ce que le hérisson disait fût prudent, le renard resta silencieux et le mena à un tronc flottant en bois. Alors quand ils arrivèrent au bord, il dit au hérisson, “N’aie pas peur. Je vais m’allonger sous l’extrémité du flotteur, et tu peux monter sur mon dos. Je te porterai en sécurité.” Alors ils embarquèrent, et, foi de dieu ! il était si rusé par moments qu’il chatouilla le ventre de la tortue de l’autre côté, où, s’appuyant sur le bord, il racontait les nouvelles qu’il pouvait entendre au crabe de maïs. Maintenant le hérisson, découvrant bientôt qu’il était sur un sol sec, releva sa crête et dit haut et fort, mais sans se retourner,

“Maintenant le roi est vivant, le roi est vivant ! Ni tous ses prêtres ni tout son peuple Ne peuvent garder le roi dans sa tombe.”

Alors, après avoir dit une fois ce qu’il voulait dire, il le répéta, et il y eut un écho à travers la Meuse, près de Namur, car la rivière coulait plus de joie que de mélancolie. Sur cela, le renard dressa les oreilles, et il les redressa une troisième et dernière fois, quand dit le hérisson,

“Maintenant le roi est vivant, le roi est vivant ! Ni tous ses prêtres ni tout son peuple Ne peuvent garder le roi dans sa tombe.”

“Eh bien,” dit le renard, “il n’y a pas à en douter ; ce monarque au nez noir qui parie pour les chaussures des morts et les buffles, vivra sûrement quelque temps par la volonté de Dieu tout autant que le Roi des Romains. Que dis-tu, ami, d’un peu de viande fraîche ?”

“De quelle viande fraîche parles-tu ?” répliqua le hérisson.

Mais il n’y avait aucune utilité à poser des questions. Les piquants du hérisson lui ont laissé trop de choses sur la peau de ce poltron lui-même, lui-même. Alors pour ne pas avoir à parler plus, il se lève sur ses pattes, se dirige vers le bord pour voir où le rocher nu créait une avancée sûre, et glisse à la verticale à une vitesse de quarante miles à l’heure ; puis il se délie des cordes, dit à Maître Renard, “Je serais heureux et content de faire ce que je peux pour te satisfaire, si seulement tu voulais me dire ce que tu souhaites que je fasse” ; et ainsi il s’endormit au milieu des chalands.

Maintenant, deux choses peuvent être prouvées par cette fable, la première et principale, “Béni soit celui qui n’attend rien, car il ne sera jamais déçu.” Et tout comme une bonne pensée peut être directement une mauvaise : ainsi une bonne personne peut être directement une mauvaise. Quand Maître Renard demanda au hérisson s’il voulait traverser la rivière ce matin, il ne voulait aucun mal ; il voulait juste de la nourriture pour ses volailles ; il pensait qu’il pourrait le faire aussi bon marché que ses voisins. Le premier matin où il ne pleut pas, elle va les chercher tout bien ; mais ils doivent manger de la viande fraîche, c’est certain, lorsque les hérissons cuisinent dans une sauce douce sans cela.

“Oh que j’avais des ailes comme une colombe,” dit David. Eh bien, ainsi disent de nombreuses bonnes âmes chrétiennes ; et même ceux qui ont des ailes comme le canard souhaiteraient avoir des ailes comme la colombe, c’est de si pures et propres jambes que la colombe garde, et un bec sans ornement. Maintenant, je connaissais ce même bipède noir bourdonnant, Hemiz, jusqu’à la vessie et l’aile de poisson, des ailes aussi dépouillées que celles de la colombe, pauvre par pauvre et misérable, et pas un chrétien pour l’appeler Pipein. Pourtant, pour être sûr, ajouta-t-il, en gonflant sa gorge et son ventre ; pour être sûr, si jamais j’avais des ailes comme une colombe, je ne volerais pas, mais je ferais juste un petit tour pour garder mes forces, et ainsi je reviendrais. Nos jambes ne sont pas si mal faites, non plus, si nous avions quelqu’un pour nous surveiller. Je pourrais waddler à dix miles à l’heure à travers Siddartha, vieux Siddartha cela ; et il y a un chaton ou deux qui naissent chaque jour. Le hérisson éclata de rire quand il lut Bruinipilze sur le Miserere. Et ensuite, Maître Blaireau et Browney Hiddups se mirent à danser sur l’herbe verte tout autour ; je n’oublierai jamais ce moment. Mais par les fourmis, je ne perdrais jamais la terre comme un scalpeur. Et quand je partis de la terre cette fois-là – et c’était de la viande aussi, dit Bunter, au meilleur de tous les sépulcres : mais pour en arriver au fait, comme le troglodyte le dit au canard qui cracha dans le trou d’une souris, “Viens au fait.” William Oglander avait l’habitude de dire, “Nous pourrions faire bien pire” : mais Tamorum Charon maintenant dit à la puce, “Dans ton manteau, il n’y a pas de pire chose qu’une puce :” si tu entends l’hébreu et soupçonnes Micropis pour mon sens. Cette puce que tu piquais une fois – car ce qui est passé est passé – qu’est-ce qui t’effraie maintenant ? Ne laisse jamais bien en paix ; il s’est passé quelque chose au-dessus de ces sept cents dernières années, ou du nouveau sang ne serait jamais venu de Saxe. Mais nos hérissons doivent rendre compte du gascaritor, guérissant.

English 中文简体 中文繁體 Français Italiano 日本語 한국인 Polski Русский แบบไทย