Alfred l’Aardvark vivait dans la savane africaine, avec ses vastes prairies, ses buissons et ses animaux. Bien qu’il aime sa maison, il semblait qu’il lui manquait une chose. Oh oui, il adorait jouer avec tous ses amis animaux, mais les grandes girafes avaient des queues trop longues, tous les autres étaient trop lents ou trop petits, et il se sentait, oh, si fort ! Il avait récemment rêvé de désirs, et il voulait explorer, explorer, explorer ! Ah, mais c’était dangereux de le faire, car on ne savait jamais ce que l’on rencontrerait.
Un jour, alors qu’il réfléchissait si profondément que, vraiment oh, très sincèrement, le soleil se couchait, les étoiles apparaissaient et la lune s’élevait au-dessus, il entendit un rugissement fort et un grand fracas. Instantanément, il leva les yeux et là, à cinq pas à peine, se tenait un lion avec une grosse tortue sur sa tête.
“Oh, Alfred ! petit Alfred ! viens m’aider !” cria la tortue. “S’il te plaît, fais que ce lion horrible se dégage de moi !”
“Ho, ho, ho, quel plaisir ce sera !” pensa le lion. Car il voulait vraiment savoir si la tortue-coniglio serait bonne à manger. Ainsi, il s’assit tranquillement sur le sol, avec la tortue à plat sous ses pieds.
“Dégage ! dégage !” cria la jolie voix d’en dessous.
“Bien sûr que je vais le faire ! Dans la mesure où je peux sauter !” dit le lion, et il sauta largement ; mais la tortue tomba lourdement de l’autre côté, avec un bruit sourd !
“Dégage, apporte-moi de l’aide ! Dégage et surveille ma nouvelle maison !” dit la tortue en regardant par sa porte ronde épaisse.
“Mais la nouvelle maison est une belle et épaisse coquille,” dit le lion ; “tu ne vas pas t’en formaliser juste un moment en dessous.”
“Il n’y a pas de temps à perdre,” cria la tortue. “Au revoir !” et d’un coup, elle rentra dans sa coquille et sortit de son côté, plongea directement dans une rivière, et ainsi elle pagaie toute seule dans la nuit.
“Et maintenant, petit Alfred,” dit le lion, “que puis-je faire pour toi ?”
“Rien du tout !” dit le jeune aardvark en reniflant l’air avec suspicion. “Merci ! Mais je pense que je vais d’abord manger. Si tu viens avec moi, nous pourrions explorer ensemble.”
“Je veux bien !” dit le lion. “Je vais juste me glisser ici et prendre un joli morceau de chair.”
Alors le lion glissa sa tête dans un fourré et soudain se redressa et tomba en arrière ; mais Alfred n’avait rien entendu et pensait juste que c’était un autre jeu.
“Mais ce n’est pas si agréable après tout,” dit le lion entre ses gémissements.
“Est-ce vrai ?” se plaignait Alfred. “Je suis désolé ! Explorons encore un peu.”
Mais à peine s’étaient-ils arrêtés pour chercher que le lion, “Ho, ho, ho,” à peine s’étaient-ils tenus immobiles qu’il s’endormit. Mais Alfred avait rassemblé des branches et des feuilles et ainsi construit une hutte désordonnée et malheureuse.
À peine était-elle achevée que le lion se réveilla, et à peine faisait-il nuit, quand “Descends ! descends !” cria le lion.
“Quel est le problème ?” murmura Alfred en regardant prudemment à l’extérieur.
“Je rêvais !” dit le lion. “Je rêvais toute la nuit que je pouvais sentir une tortue ! les autres n’avaient pas de coquille.”
“Ah !” dit simplement Alfred, “rien de tel que des rêves quand on a faim,” Et sur ce, il ne vit plus rien du lion. Mais il ne le voulait pas vraiment non plus ; il n’aimait pas la manière dont il avait construit sa hutte, toute tordue et dont le sommet se perdait dans les arbres.
Alors elle s’enfuit, sans le moindre souci, dans la nuit éclairée par la lune. Et qui vit-elle devant elle rentrant chez elle, comme Alfred, vers son doux lit, mais Sally le Python ? Et Sally, dès qu’elle s’arrêta pour saluer Alfred, dit :
“Je n’aurais jamais cru que quelque chose pouvait s’endormir ! Car ils dorment toute la nuit et ne rêvent jamais, et ils ne semblent jamais vouloir manger.”
Mais le lendemain, elle retourna et demanda au lion :
“Est-ce que ce que tu as mangé hier, ce n’était pas assez de viande ?”
“Oui,” dit le lion, “mais j’aimerais un peu plus pour le dîner !”
“Mais ne voudras-tu pas encore plus pour le souper après cela ?” dit Sally.
“Oh ! je suis tout à fait sûr que je vais dire au revoir et dormir quatre nuits !” répondit le lion. Et puis, chaque jour et chaque jour et chaque jour, le python allait régulièrement manger la nourriture du lion. Et puis une nuit, Alfred s’approcha d’elle.
“Je pense que tu explores trop ta nourriture,” dit-il.
“Pas du tout !” dit-elle. “Trop explorer-trop explorer-quelqu’un a clapé leurs bébés aigles bruns autrefois au pays des contes !”
Et tandis qu’Alfred restait immobile dans un coin, sur le bord des arbres, elle, suspectant très probablement ce qui s’annonçait comme je m’apprêtais à dire, “Avec plaisir !” dit-elle et s’endormit. Mais Alfred ne dit rien. Alors l’aardvark s’en alla confusément, restant entre les arbres où Sally ne grimpait pas, et avant qu’elle ne s’évanouisse, elle vit Alfred briller dans la plaine ouverte et n’avoir devant elle que les mâchoires ouvertes du lion, difficile à prévoir pour les événements à venir, prêt à être admiré sur le bord de la promesse !
Mais alors qu’Alfred se réveillait, ses amis s’étaient entassés confusément pour réfléchir à ce qu’il convenait de faire. Le danger approchait, mais quoi ! Juste parce qu’il arrivait, il rompit ses limites et engloutit ce qui se trouvait devant.