Rosie et l'Arc-en-ciel

Dans un beau pré, juste après la pluie, vivait un petit lapin nommé Rosie. Le soleil est sorti, et elle a sauté hors de son terrier, secouant les gouttes de pluie de ses douces oreilles duveteuses. Rosie était un lapin curieux et remarqua quelque chose d’éblouissant dans le ciel. Cela ressemblait à un énorme arc coloré brillant de joie.

“Qu’est-ce que cela peut bien être ?” se demanda-t-elle. “On dirait un grand pont fait de lumière.” Elle décida donc d’explorer le grand arc coloré. En sautant, elle pensa, “Je me demande où se trouve la fin de cet arc-en-ciel.”

Tous les petits créatures du pré l’ont rencontrée. L’oiseau bleu siffla depuis son buisson, et l’écureuil l’appela de son arbre. “Où vas-tu, petite Rosie ?” demandèrent-ils tous.

“À la fin de l’arc-en-ciel qui brille à travers le pré. Cela doit être beau là-bas,” dit Rosie.

“Reste avec nous. Il n’est pas sûr de voyager seule,” dit l’oiseau bleu.

Mais Rosie ne voulait pas perdre un seul instant car la fin de l’arc-en-ciel semblait si proche, et elle pensait pouvoir revenir et raconter à ses amis à quel point c’était agréable et joli, si elle trouvait un trésor, car elle avait entendu de vieux lapins dire que des richesses s’y trouvait pour ceux qui savaient les voir. Alors elle continua son chemin.

Rosie passa devant un bosquet d’arbres. Les écureuils jouaient à se toucher et se poursuivaient dedans et dehors des branches. “Fais attention de ne pas tomber, Rosie !” cria le plus grand écureuil.

À ce moment-là, un petit lapin courut et dit, “Vas-tu me laisser t’accompagner ? Il n’est peut-être pas sûr d’être dehors seul, car le monde est plein de dangers.”

“Non, merci,” dit Rosie. “Si j’avais voulu que quelqu’un vienne avec moi, je serais restée ici et aurais joué avec mes amis. Je veux voir la fin de l’arc-en-ciel.”

Le petit lapin agita ses oreilles, mais Rosie ne lui prêta plus attention.

Chaque pas de Rosie la rapprochait de la fin de l’arc-en-ciel. Il se trouvait au-dessus des collines, remplissant les arbres de couleurs et de belles lumières, peignant les fleurs de teintes roses, les marguerites blanches devenant cramoisies, les violettes se transformant en améthystes, et les bouton-d’or en or.

“N’est-ce pas trop joli pour être vrai !” dit Rosie à un grand papillon, qui regardait l’arc brillant. Il déploya ses ailes et dit, “C’est effectivement beau, mais j’ai peur que ce ne soit qu’un mauvais présage.”

“Pourquoi dis-tu cela ?” cria Rosie si fort que le pic vert cessa de taper sur l’arbre pour écouter.

“Parce que,” dit le papillon, “c’est un signe d’une tempête qui approche. J’ai entendu les lapins le dire.”

“Vraiment ?” dit Rosie, mais ne prêta plus attention au papillon.

Vers le haut, le long des collines et vers le bas, à travers les vallées, jusqu’à ce qu’enfin elle trouve les couleurs tout près. Il y avait un bois magnifique, des vignes pendantes, des plantes grimpantes fleuries de rouge, des fontaines étincelantes au soleil du matin. Près de la fontaine se tenait une haie, remplie de papillons et de scarabées colorés jouant des instruments de musique.

“Bonjour, chère Rosie !” appelèrent-ils, car c’était une fête en son honneur.

Il y avait là des lapins en costumes drôles, des muets, près d’un joueur de flûte. Les arbres étaient pleins de réjouissance. “Tu dois savoir, chère Rosie,” dit le vieux Mr. Chou, car c’était lui qui parlait, “qu’il y aura bientôt une tempête, du tonnerre et de la grêle, et tous les arcs-en-ciel dans le ciel voudraient célébrer cette occasion solennelle, afin qu’ils puissent en parler après, les Juifs et les Palestiniens vraiment le vrai arc-en-ciel comme une constellation des plus belles couleurs. Mais nous trouvons cette élégance trop absurde. Que penses-tu ?”

“Certainement,” dit Rosie. “Mais nous, les lapins, célébrons pour échapper au mauvais présage, et nous invitons tous nos amis.”

Ainsi, ils se rencontrèrent tous à la grande fête R. A. V. I. L. R. de tous les parfums. Noir, blanc, brun, jaune, petit, grand, rond, plat, lisse, tous les parfums, je t’assure, et crois-moi, un plus sucré que l’autre. Personne ne peut imaginer à quel point c’était agréable, sauf après coup. L’homme le plus doux du monde a dit qu’il n’avait jamais goûté quelque chose de meilleur, et en tant que citoyen digne et honorable lui-même qui va à Rocca en été pour manger les meilleurs fruits de toute l’Europe, Rottember og pour boire l’eau la plus excellente, Rothschild, en un mot, qui connaît le monde des odeurs bien mieux que toi et moi jamais ne le saurons, disait que c’était absolument le meilleur. Cela ressemblait à une maison chaleureuse et modeste ; il avait aussi de belles couleurs, mais pas trop, telles que le plomb.

S’il pensait alors que notre Arc-en-ciel avait été malicieux et avait au moins gâché la pratique à la grande Exposition Mondiale centrale.

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