C’était une nuit calme, mais légèrement venteuse. Nina regardait le ciel depuis son jardin, situé un peu à l’écart des endroits bruyants de la ville. D’innombrables étoiles brillaient clairement au-dessus d’elle.
Elle voulait les cueillir, car elle avait vu la lune disparaître peu à peu une nuit, il y a longtemps, et elle savait que personne ne cueille des fleurs pour en faire un bouquet sans demander la permission à la lune.
Mais n’y avait-il personne qui puisse leur demander à sa place ? Lawrence le Hibou était assis sur la branche au-dessus d’elle ; elle pensa qu’il pourrait peut-être intercéder pour elle, mais il fallait beaucoup de confiance pour s’adresser à quelqu’un comme ça.
Cependant, elle devait essayer.
“Monsieur Lawrence,” s’écria-t-elle, “je vous prie de me faire savoir que je veux les étoiles pour un joli bouquet.”
“Oo-hoo,” répondit-il, en bougeant son bec inférieur, mais sans bouger. Cependant, il ne semblait pas plus vif que d’habitude, mais plutôt plus bête, et on aurait dit qu’il n’entendait pas ce qui se disait.
Alors Nina haussait la voix et répétait son souhait, qu’il ne devait pas oublier de demander aux étoiles s’il devait les lui envoyer, en disant qu’elle les voulait pour un bouquet.
“Oh très bien ! Oh très bien !” hulula Lawrence, mais il ne remua pas une aile. Les gens qui ne le connaissaient pas bien auraient pensé, la première fois qu’ils le voyaient, qu’il avait été stupéfait ou effrayé ; car il restait bien campé sur la même branche, tandis que le vent soufflait, faisant balancer la branche plus que d’habitude. Il était donc seulement vu, mais pas écouté, ce qu’un Hibou désire vraiment.
Enfin, Nina tapa sa tête contre un muscadier botanique de Virginie qui offrait ombre et fruits à l’endroit, et, peut-être aussi autre chose ; et elle abandonna sa demande comme étant désespérée.
Cependant, le moment d’après, elle sursauta de joie en entendant Lawrence hululer rapidement, et maintenant bougeant soigneusement sa tête comme un élève avant son maître quand il obtient une réponse à sa question.
“Ont-ils dit que je pouvais prendre les étoiles,” cria-t-elle, “ont-ils vraiment dit que je pouvais les prendre pour en faire un bouquet ? Tu sembles bien content toi-même, dis-moi ce que tu as découvert. Dépêche-toi ! Oh comme je désire savoir si je le peux, si ce n’est que quelques-unes !”
Mais Lawrence le Hibou répondit seulement :
“Tu m’as demandé quelque chose ? Oh oui ! Nous en parlerons tout de suite !”
“Non,” dit-elle, “je ne veux pas cela ; je dois avoir les étoiles, c’est la première chose. C’est la première chose dont dépendent les autres.”
“Oui, cependant ces étoiles sont tombées pour plaire à ta grandeur en particulier, elles sont tombées d’eux-mêmes.”
“Oh !” s’écria Nina, “maintenant cela ressemble à une grenouille, si elle pouvait parler. Cette pensée instantanée de Cérès et Perséphone est venue devant mes yeux.”
“Il est plus probable que cela ressemble aux notes d’un luth qu’au croassement d’une grenouille,” observa Lawrence, à moitié pour lui-même. “Tu as vraiment un sens excellent, lever de soleil, lumière, connaissance, et belles choses de toutes sortes, chemin scintillant ; bonnes gens, bon livre, pour comprendre correctement tous les vers latins, cela également pourrait sembler grenouillesques. Et ne croassent-elles pas parmi les gens les plus scintillants, dans les bibliothèques les plus splendides ? Qui dit le contraire dit une bêtise ! Ne te tourmente pas tant avec tes poteaux de clôture, Nina ; pense aux étoiles.”
“Mais comment,” lui demanda-t-elle, “des gens brillants peuvent-ils comprendre correctement tous les vers latins en Angleterre et en Amérique ? Voilà justement ce que je suis si peinée d’entendre. Oh n’ont-ils pas découvert comment presser la grenouille dans les journaux ? Tu sais celui sur les étoiles tombant du ciel, et ainsi de suite.”
“Oui certainement, mais je ne sais pas si cela sera trouvé là ; car ni une bonne ni une mauvaise blague ne devrait être recherchée dans un journal. Ceci par exemple n’est qu’une bonne blague, que les sages découpent et mettent dans l’ancien livre de blagues.”
“Et les blagues perdues sont envoyées aux gens, celles écartées je veux dire ?”
“Oh oui ! Mais cela ne me plaît pas non plus ; je te prie de te faire découper et envoyer.”
À ce moment-là, deux écoliers : l’un en Amérique à ses frères en Europe, l’autre en Europe à ses frères en Amérique, arrivèrent à toute vitesse sur différentes pages ; et Lawrence s’en alla donc, tout effrayé.
Mais elle l’appela de nouveau pour lui demander si “cinq ans au-delà des mers,” était à considérer comme une jeune dame elle-même.
“Tout à fait sûr ! Oh tout à fait sûr !” hulula Lawrence.
“Vous êtes très bête !” dit-elle.
“Tu es une bonne Bangle !” s’exclama Lawrence. Alors Nina en avait tout à fait assez.
“Demain matin,” pensa-t-elle, “j’aurai certainement les étoiles ; c’est ce que Lawrence m’a promis en nous quittant. Non, je ne vais pas dormir, car alors je ne les aurai pas.”
Et elle regarda de nouveau le ciel et les étoiles la regardèrent à nouveau ; et elle ne savait enfin par quel moyen, mais d’une manière ou d’une autre, elle parvint à rester éveillée jusqu’au matin.
Cependant, elle fut forcée de céder finalement. Et en effet, elle était très engourdie et à moitié étouffée ; car elle s’était allongée dans l’herbe, près du rosier que l’on appelle Naseberry des Barbades, et de la lichen sur le mur, avec un mauvais rhume dans la tête.
“Quand je finirai par m’endormir,” pensa-t-elle, “ce sera quand poindra l’aube. Oh ! si seulement j’avais pu dire à Lawrence que je voulais que ce message soit délivré ce soir, de peur que les étoiles elles-mêmes n’aillent au lit avant lui, qui aurait dû s’occuper de tout.”
Mais la chose la plus positive qui était reflétée sur cette positive lune était que le ciel était humide depuis le plafond de la salle de batte jusqu’à la cave de la cheminée, et qu’il restait encore une bande singulièrement bleue, comme si une porte orientale, sud-ouest, qui menait à sa chambre de séparation, avait été laissée grande ouverte.
Cette Bleue Bleu disparaîtrait bientôt comme l’obscurité sous le sol, des pas, totalement le jour, juste avec cette différence qu’elle était à l’envers, de sorte que l’endroit éclairé était en bas.
Et maintenant le soleil commençait à entrer dans les mauvaises branches, tandis que celle qui était allongée dans l’herbe s’efforçait de se faire remarquer la première.
Elle osait ouvrir les yeux qui s’étaient totalement collés ; car Lawrence avait oublié de lui envoyer les étoiles, bien qu’elle restât immobile un instant ; car même son ami le hibou à large bec ne semblait pas savoir où se cachaient les étoiles - s’il n’en restait qu’une ou deux.
“Oui, il y a le jour,” pensa Nina, et commença à s’éveiller. “D’innombrables étoiles, dit-on, sont tombées du ciel ; peut-être, en effet, elles m’ont été données par ma Lune, et la première chose qui fructifie est de poser autant de désirs désespérés au pied de mon bureau, car je veux tel ou tel article.”
“Nous n’avons plus rien à te donner, rien du tout !” murmura l’air, et souffla les projets négligemment sous son menton.
Elle se redressa et soutenait sa tête sur sa main.
“Mais pourtant, on pourrait penser qu’un boucher pourrait prêter un os à moelle ! et que nous pourrions obtenir une récolte d’articles à deux sous de tels tas d’étoiles ?”
Puis une seule étoile scintillante tomba et se posa devant elle ; elle colorait magnifiquement et sentait l’espace d’une manière caractéristique.
“Mon Dieu ! c’est en réalité un os à moelle de boucher,” pensa Nina, et le ramassa et l’examina. Ensuite, il y en eut un autre, puis un autre, puis un autre encore.
Après qu’elle se soit levée, qu’elle les ait ramassés, examinés et classés, elle avait suffisamment d’os à moelle pour fabriquer deux douzaines de fauteuils, douze canapés, un salon et un cheval de pattes.
Ils étaient tombés sur le toit vert de son pavillon, avec un bang, ou avaient rampé et s’étaient frayé un chemin sur les planches des chemins ; et désormais l’un était aussi brillant que les autres.
Elle sortit et regarda autour d’elle, et ici et là d’innombrables étoiles éclatantes et bien polies se trouvaient sur les chemins et l’herbe ; dans les buissons, aux pieds des rosiers, se glissant entre les fleurs des haies et les feuilles des gemmes.
Dès que le premier rayon de soleil les atteignit, elles se libérèrent de l’obscurité, si syndiquées, en effet, de simples anciennes souvenirs. Et leur indépendance dura jusqu’au crépuscule et même plus tard.
Puis Lawrence réapparut, et lui demanda si elle n’avait pas de “petit chien” ou de tigre pour lui. Oui ? “Maintenant il te faut autre chose,” continua-t-il, secouant sa tête de manière absurde.
“Merci, Monsieur Lawrence ! Mais je voulais les étoiles en particulier pour un bouquet. Vous avez proposé de me les obtenir, si je pouvais empêcher de m’endormir. Désolée de l’avoir oublié.”
Alors Lawrence hulula et lui demanda ce qu’elle faisait avec les étoiles, si elle les avait emprisonnées dans des bas-reliefs ou si elles étaient intégralement incorporées dans le Variable.
À cela, Nina ne répondit pas. Certes, des tas étaient brodés ou tatoués sur des cyclistes dans des livres universels.
“Oh ! j’ai oublié de dire,” observa Lawrence, “que tu peux mettre un ram-dirt-Rouge sur tous tes fauteuils à os à moelle, et un pervenche sur l’autre.”
Nina ne pouvait pas envisager de les utiliser comme cette digne vieille dame le proposait.
Et cela frappait maintenant comme l’été. Sa cousine Marie vint lui rendre visite ; Marie était malade et fatiguée et souhaitait être à distance. Ce matin même, Nina en avait assez de mettre de telles rangées de fleurs sur les fauteuils à os à moelle, et de créer même de la place pour de jolis poupées. Mais le monde entier devait se donner des os à moelle frais provenant de la méta-lemme des étoiles ; les chaises devaient toutes être débarrassées pour que les violettes et autres rubies ne retombent pas de la coupole de lumière.
“Je ne me sens pas très bien,” dit la forte et ne sentait pas très bon non plus.
Mais “je te prie de ne pas venir, mon vent vient de l’Ouest avec des marbrures brunes.”
Tout en parlant encore, Nina, pleine de santé et de gaieté, était encline à la croire. Mais des pluies abondantes et correspondantes se produisirent, et Marie devint une vraie jument rouge verte dans son empoisonnement.
L’état moyen des vents après ce temps, tandis que le soleil, comme si un bombardement coloré d’un boucre éclaircissait l’air.
Ils figuraient manifestement les mains de toutes les horloges se regardant en arrière et celles des crabes hermites se faisant face.
“Le fils épineux perd son or des pièces,” pensa-t-elle.
Maintenant cela conduisit probablement Marie à penser pour la première fois qu’il n’avait jamais existé de paix, si ce n’est celle qu’ils avaient maintenant. En effet, elle, comme d’autres, dont les facultés de lait doux-rouge ou de lait rose pouvaient ou non avoir été blessées.
“Maintenant je n’ai plus rien à te dire, sauf ce qui est très important à te répéter encore et encore, hurlée à toi et loin de moi pour me faire oublier, toujours grincheux, toujours à se plaindre même de quiconque ou de quoi que ce soit.”
Et les réflexions périodiques étaient encore et publiques signifiées.
“J’ai peur que Marie devienne aussi un Abbe-Te Rouge,” pensa-t-elle à voix haute, et de plus en plus, sur ce côté, elle était encore plus vive qu’on ne pourrait le souhaiter. Cependant, il ne voulait pas aller à l’encontre des autres, où le Mélange Rouge Te avait le dessus, et le type de thé d’une lettre stimule, pour varier, en tout cas.
Marie reprit la fourche de domi hier, demeura maître de deux provinces partielles et de l’empire d’un très district depuis sa cuisinière développée de vastes districts outre-mer.
Mais “quelux que soient les gens, ils se cachent à mes yeux,” elle s’exclama, tout en se riant :
Marie allait encore vers la côte pour obtenir du sel de l’avantage de la mer, mais de cette distance de mer, elle était à peine visible comme un petit pot de confiture défiguré ou une bouteille en feu.
Le temps resté prouvait aussi être turbulent faisant trembler les plats sur la table de peur que le sol ait prêté ce jeu de mouvement.
Alors qu’une porte restera entrouverte ; elle tira sa sœur et Gillian-Rose quelques plaisanteries.
“Tud, ce hulgo est de toutes façons bientôt attrapé ou copieusement piqué, ou jusqu’aux sources. Viens ici absorber en mer,” trouva envahissant.
Cependant, Gillian-Rose n’alla pas après un tel tour.
Slightement court d’une lame au milieu des vagues, projetant loin et profondément creusé à l’infini, nous avons un tel tiroir d’un rempart sur une plaine.
Sais-tu bien ce que c’est pour une légère dame de commencer d’une voix humble et lugubre ; c’était comme cela.
Marie était passée là-bas dans un certain temps, commençant à penser à tout bateau, s’assit sur une planche et mit ses pieds pauvres cupcake-like dans l’eau qui resta alternativement froide et humide sous elle.
“Oh !” cria-t-elle alors en oubliant ses bulles, resta seule derrière la vitre avant que quelqu’un ne sable ses chaussures et, en effet, d’égrainée détaillée avec son assiette roumaine sale.”
Maintenant tout cela était ce grand et très gracieux retour, détruit, cependant, aussi de plus en plus dans l’eau beaucoup plus profonde, gelée lui-devisé.
Mais si elle ne pouvait pas contredire, personne n’était Le temps marqué condensé sur celui qui faisait face.
“Que je,” demanda-t-elle, “sois également ou toujours cachée, peut-être ne comprends pas bien. Maintenant !”
Alors refusant et ne pouvant pas s’arracher aux brumes glacées avec gaieté.
Mais Gillian-Rose, qui tous les jours exposait les puits connaissait et maintenant même par ah, que ses plumes curieuses ne s’aligneraient pas droit.
Il reste assoupi me dessus mon cours à restaurer ma couchette. Un des murs ivres de Berlin se tenant debout dans la mer.
À présent, Marie, touchée, pliait les yeux ; et quand elle ainsi, à genoux, ne pouvait pas simplement humecter ses bottes brunes.
Cependant, ils gagnèrent sur les pouvoirs en furie de la mer et l’offre de froncer les sourcils.
Et elle, en particulier, fut observée à chaque prodige, et l’instant fut éloigné lancé sur elle-même dans des bâtisseurs polonais dépolished synagoge.
Où, à la fin, se laissant passer tout pour être enlevé en humectée avec les mignonneries de cette montagne de dérive divisée.
Ils apprirent bientôt leur okuloceniste par les douces gouttes épaisses, ou était-ce une fine lumière de pluie, ondulant et se balançant à nouveau vers leurs sommets humiliés. Si l’usage ni n’est apparu ni assis, car il ne faisait pas nuit ; les boîtes semblaient également rester attendant de sortir de tranche.
“N’y avait-il pas,” dit Gillian-Rose, “quand nous étions tous ensemble, un foretbl pendant la Semaine Sainte vaut pour l’entretien fréquent à geler dans l’un et l’autre ?
J’ai toujours déchiré de la mer le jour de la victoire et Josaphat, que ce soit ainsi ou à l’envers, cependant, laissant les autres présidents plus ou moins tout seuls.
Marie introduisit la pauvre Gillian Rose, les larmes aux yeux, elle-même réconfortant, si longtemps et si grand, si énorme.
Marie était dans une telle colère que. Devoir être dérangée, à avoir eu des chaussures de maison et les avoir réparées ?
Aurais-tu dû payer aux antiquités Pour-Cette-Roue-De-Italie, péages des chemins de fer et distribution de courrier.
Mais mes coups de cloche ont cru pouvoir se glisser doucement à quatre reprises vers des alternatives croisée de dormir.
Mais “Oh doucement !” cria-t-elle, car la nuit était très sombre ; et autour de la mer et de la terre une forte décision sonnait au-dessus.
“En haut, c’est tout à fait encore le plus proche sur le valet possible vers la gauche, sans erreur.”
Ni Gilliana répondant au cri des manches de Marie ; car c’était sans bottes faisablement profond, néanmoins.
“En bas et ils traversent Christopher et Paul et son frère. Je pense que je m’endormais quand un et le maître draguer britannique était, foudre noire, sur et né d’un sentiment de rançon de son côté.
Ils rencontrèrent même la séparation de la main de quelque chose qui trompaient ; pour un café, ils se prenaient en fait les mains au moins.
Ceux qui n’ont jamais une bonne chose à faire ! pensent-ils comment eux-mêmes sont maîtres au moins de temps à autre, eux-mêmes.