Nina le Rossignol

Dans une forêt verte luxuriante, alors que le crépuscule scintillait,
Un petit rossignol marron, timide et pleurnichard,
Restait silencieux, bien qu’un calme pesant,
Semblait attendre le poème-mélodie des bois remplis.
Tous écoutaient—les arbres et la nuit,
Car chaque poitrine d’oiseau était illuminée et en émoi ;
Chaque grillon préparait son plus petit flageolet,
Car ici, il y avait une chanson festive, ou une litanie triste à établir.
Et maintenant venais le refrain plaintif du coucou,
Et ici et là, de faibles échos des cris des grues,
Si tremblants, si entrecroisés, comme les nuages
D’une soirée d’été, lorsque la lune se cache,
Comme des battements de coeur tremblants, le ciel triste respire.
La voix, vacillante et tremblante, était sur le point de cesser,
Et le silence semblait n’être que le précurseur de la paix,
Quand du cœur de la nuit, si solennel et sombre,
Cette vieille berceuse plaintive flottait :

“Dors, dors, petit, repose-toi sur le sein de ta mère ;

Doucement, les brises soupirantes t’enveloppent,

Les nourrices de la terre veillent sur toi ;

Dors, dors, petit, attends la lumière de demain.”

“Dors, dors, petit, formé dans la douce enfance ;

Les sauveurs des enfants de la terre veillent dans des rêves planant en l’air,

Dors, dors, petit, berceau et mère s’unissent.”

“Dors, dors, petit, l’aube réclamera ton jeu,

Les vues et sons de la nature te réveilleront,

Et ôteront du cœur et de l’esprit la lassitude d’hier.

Dans la largesse du cœur, hérite du destin de ton âme.”

“Dors, dors, petit, garde ce trésor si rare—

La plus haute chanson de l’âme respire dans le silence, chut ! nous l’avons si près ;

Parfois, le son de la musique grandira avec chaque battement de cœur.”

Ainsi, la voix du rossignol s’éleva pure,
Expressive, harmonieuse, elle, assise dans les buissons denses,
Ces tonalités qui font fondre l’âme, pleines et douces,
Tombaient droit au cœur—fort et fort.
Mais Nina, la minstrel, connaissait peu les oiseaux,
Bien qu’elle puisse porter une petite chanson parmi les trils et les caillots,
Et pour la première fois, elle semblait chacune connaître,
Car des mélodies en vie s’enroulaient dans son cœur à l’abri.
Le silence de l’extase pressait de près derrière,
Les chuchotements du sommeil apaisaient ses découvertes,
Les rêves les plus éloignés, visions et sons, caressaient avec une langue—
Perdus dans cette berceuse, les battements de cœur maintenant suspendus.

Tout était rempli dans la branche où elle voltigeait et s’accrochait.

“Qui vois-tu là ? Oh, ne dort-elle point ? “
S’écria Frank et sourit à son joli prix endormi—
Et ils papotaient et riaient et au-dessus d’elle pendaient,
Jusqu’à ce que le cœur et l’esprit s’éveillent “au matin de la vie”
Et à la première lumière du jour, les tulipes s’épanouissaient tristes dans la lutte—
Comme des enfants contrariés par une roue dizzy ;
Et Frank plaça sa balle dans la petite main brune—
Avec juste la paume pressée sur un ruban de cane-telas.
Les vieux cheveux argentés scintillaient sur des yeux si brillants,
“Chère Aesculap, cher Maître ! ho choisi aigre ou serré
Son plus grand reproche ‘Lo, fool ! tu es fou au bord,
Faisant souffrir ton voisin si inutilement, ne pense jamais,’
“Je te prie, ô Nina si jolie et gaie,
D’être sage et de ne plus jouer sur le saule…”
Ainsi, les chants des rossignols ont toujours cessé.
Ce matin-là, toutes leurs artifices de chant prenaient un tel plaisir qui satisferait.
Maintenant, l’histoire s’envole, étant librement si familiarisée.
Douze fois moins les rossignols des bois trimèrent les différences de craquelures
J’ai envoyé française sans faute, occasion apportée de tas.
Nina, un autre matin gris à l’aube,
Elle durcit une fleur bien ouverte et bâilla,
Mais tout à fait tu muets situation de printemps
Par la suite fut appelé imitation apprivoisée,
Bien que tel ne soit que lorsque les chants dormaient seulement—
Revenir à sa nature encore et encore.
Pense, comme Nina, tu n’as pas besoin d’une chanson ou plus,
Comme juste au plus à côté, mais
Arrête de te chanter devant d’autres,
Ce que chacun attendait de toi coûtait la vie à Nina.

“Ainsi, soot Achathe au Marché prit son envol—Ne pleure pas Anouefs mais chante à la légère à travers la nuit.”
Avant que la treizième heure ne soit passée, elle partit de cette main béante,
Avec ses cheveux bouclés, le doux son écouté au souffle des bandes.

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