Freddie la Fée des Fleurs

Dans les matins de début de printemps, les rayons du soleil font fondre la glace de l’hiver. Ensuite, Dieu envoie des averses douces pour humidifier la terre, et bientôt les petites bulbes s’éveillent et fleurissent après leur long sommeil hivernal. Toute la journée, de minuscules elfes s’affairent à montrer leurs jolis visages au-dessus du sol et à déployer leurs feuilles délicates.

Ils chantaient leur hymne matinal au Créateur de toutes choses, qui leur avait donné la vie dans ce cher foyer terrestre ; car les fleurs sont les anges qui gardent le chemin des humains sur terre. Mais Dieu souhaitait également qu’ils aient des elfes spéciaux pour veiller sur eux, qui n’avaient d’autre pensée que celle des fleurs. Il est bien connu que les fleurs au printemps sont de grandes amies du soleil ; car si le soleil ne leur rend pas visite, elles se fanent et dépérissent ; mais s’il vient à elles et hoche la tête dorée par une chaude journée d’été, alors chaque tige de fleur devient une fontaine, de laquelle la nature boit et se rafraîchit. Et le soleil visite toujours chaque fleur au printemps, mais en été, il passe souvent à côté d’elles comme il le fait avec nous, bien qu’il les observe toujours de loin.

Ainsi, chaque soir, il envoie un messager elfe équipé d’une corne, sur les notes d’argent de laquelle la rose, le jasmin, le œillet et chaque lys écoutent à la tombée de la nuit. Il s’approche de chaque fleur dans sa petite barque, car tout le jardin est parsemé de petits bijoux de fleurs arrosées par la rosée : le parfum d’une fleur est mille fois plus puissant que la plus forte des senteurs humaines. Au milieu de chaque fleur se trouve une coupe dorée remplie jusqu’à ras bord de miel. Le messager elfe en prend autant qu’il peut tenir dans sa petite corne, puis il traverse le jardin pour se rendre aux choux, aux laitues, et à chaque petite fleur. Parfois, une goutte de rosée tombe de l’une de ses rames dans les coupes à fleurs, tandis que ci-dessus, les coléoptères et les papillons vrombissent autour de lui. Une fois qu’il a rempli sa petite corne, il retourne chez lui.

Ce matin, Freddie, la petite fée des fleurs, est venue demander : “Ai-je bien fait tout le service du printemps, et me suis-je montrée aussi fidèle que possible ? Oh, que le jardin était joli aujourd’hui ! Les parterres étaient comme un grand tableau : des fleurs rouges, bleues, blanches, vertes et jaunes se montraient entre leurs feuilles sombres, se serrant la main dans les folles brises printanières !”

Le parrain parla à Freddie : “Maintenant, petite Frimousse, c’est à ton tour. Tu t’es bien comportée, et je t’autorise maintenant à collecter les petites coupes de nectar de chaque fleur. Mais c’est une tâche difficile ; car dans chaque fleur, il y a des bleus, des verts et des gris, qui n’ont pas le droit de donner quoi que ce soit ; et tu dois apprendre à distinguer les bonnes fleurs des mauvaises. Vois-tu que le soleil est maintenant bien haut et cligne de l’œil très fort ? Tu sais qu’à cette époque, il ne regarde que rarement de sa nuage,” dit le parrain. “Maintenant, ma petite fée des fleurs, file vers le ‘Fleur de Mai’ dans cet arbre là-bas. Je ne vais pas dire un mot de plus, de peur que les mauvaises fleurs ne deviennent trop entreprenantes et ne pensent à tirer un petit profit de ton travail et de celui des autres.”

C’était comme si le cœur de Freddie avait raté un battement. Les brillantes rougeâtres blanches étaient dans l’arbre comme si une douzaine de grands yeux clignotants sur des tiges vertes étaient soudainement sortis de terre et regarder autour. Chaque fleur se présentait comme un bijou dans une bague. Freddie était émerveillée par une telle abondance, qui, malgré le fait qu’elle se trouvait juste en dessous de lui, semblait maintenant s’élever vers les rayons du soleil, qui, comme disaient les petites paroles de fleurs tremblantes à chaque instant, secouaient toute leur rosée étincelante, et se pressaient de prendre autant de miel que possible dans chaque coupe à fleurs.

Freddie n’avait jamais été dans un endroit aussi accueillant auparavant. “Oh, si seulement j’avais trois grandes cornes, une pour chaque coupe à fleurs !” se dit-elle, et elle partit avec sa petite barque, bien qu’elle n’en ait que deux. Mais d’abord, elle fit le tour et regarda les beaux choux, où les abeilles empêchaient chaque fleur de s’épanouir, complètement exposée au vent, et presque complètement lavée, et elle le remarqua. Près de Freddie se tenait un artichaut. “Ne vas-tu pas demander un peu de miel ?” dit la fleur. “Tu as tant fait de bien aux autres : nous n’avons pas de raison de nous épargner !”

Alors Freddie eut une idée. Elle descendit dans l’herbe, et s’en alla vers la petite serre, souffla dans sa petite corne d’argent, et réveilla les autres petites fées des fleurs qui dormaient encore ; puis elle les emmena dans le jardin et vers la cabine de fleurs des abeilles. “Vous le faites. Vous le faites, aussi vite que vous le pouvez, dans ces coupes à fleurs, trois à la fois, et chaque fée remplira sa corne trois fois en pressant ses lèvres, nageant tout le temps pour verser le miel et décharger le miel, sans laisser tomber une demi-goutte malgré tous leurs efforts.” Alors toutes les petites fées s’élevèrent en vol et se mirent en place.

Maintenant, Freddie avait des costumes étonnants, de sorte qu’elle rentra chez elle avec trois cornes de trois coupes dorées de miel sucré comme le nectar de n’importe quelle fleur ! Puis vinrent les petits elfes des choux, des radis et des laitues. Toutes les fleurs se séparèrent, et chacune ôta son couvre-fleur comme le Grand Maître le fait à la Sorbonne. Et un en dessous, un au-dessus ; et les fées hissèrent les voiles blanches sur le drapeau rayé blanc et bleu, bénéficiant d’un vent glorieux, avec le doux miel jaune. Alors, ils étaient vingt-cinq petits elfes. Tous dirent combien ils étaient reconnaissants envers Freddie ; puis elle expliqua combien d’honneur ils lui avaient montré en l’aidant dans la nature de sa tâche ; et tandis que sur le pré ensoleillé, avec chaque parole de fleur durant la journée, il faisait si frais, et tous avaient maintenant si soif. Elle se retourna alors pour rentrer. En chemin, elle se rappela combien de paix et de répit on pouvait trouver là-bas, dans les ruches de l’été au travail, auxquelles les abeilles apportaient autant de coupes à fleurs de miel qu’elles pouvaient porter dans leurs petites cornes ! L’abeille fredonnait une mélodie à elle ; mais Freddie s’approcha assez près de la coupe, et chercha à jouer un accompagnement sur la harpe d’une fleur inconnue : le petit oiseau Elmas chantait au-dessus d’elle,

Nous chantons tous ici à une seule mélodie,
Nous, fées des fleurs sur terre ;
Et partout où nous volons ou voguons,
C’est de la musique, de la joie, et de la gaieté.
Ce que les oiseaux au chant doux disent
Quand ils chantent leur chanson d’été,
Ici, au cœur de la nature,
Où les arbres verts et les fleurs se pressent.

À ce moment-là, ils avaient vraiment bien avancé, où ils virent leur petite tour au loin. Le ciel oriental rosissait. Alors Freddie leva ses voiles pour rentrer ; mais un petit nuage bleu s’éleva juste au-dessus de sa voile, comme une pièce de glace sur le sommet d’une amice. “Père !” dit-elle. Et “À bas les voiles ! En bas les drapeaux ! Dépêchez-vous et rentrez toutes les voiles,” cria Freddie ; car il semblait que cela allait éclater pour un orage, et ainsi l’elfe s’enfuit. Écoutez ! quel bruit fort cela faisait dans le champ de blé ! Freddie n’était guère arrivée chez elle sous la petite cloche de verre, que le toit de glace bleu se fendit.

Dans le vent de la tempête, la cloche suspendue dans le clocher annonça une tintinnabulation pascale.

Tout le monde était effrayé, mais Freddie se leva à nouveau, vola vers la barque de travail, et se mit au milieu. Une grande corde de tir, qui était déjà son bon aviron, s’étendait entre le pont et le mât. Dans un beau bateau de baleine, on se précipita à bord au bas de la montagne elfique jusqu’au pavillon de verre, et la corne était suspendue à la langue d’une boîte aux lettres à l’extérieur ; elle semblait un peu comme Thespis à un lac bouillonnant. Ensuite, l’eau jaillit en torrents d’en bas ; des nuages noirs s’échappèrent, et déversèrent une pluie de fleurs sur le blé, les prairies et les jardins jusqu’à l’horizon bleu dans le bourdonnement et le dron de molinos. C’était si terrible, qu’aucun doute n’était envisageable, le soleil sortit de toute sa chaleur et de sa gaieté comme une pluie si lourde - il brisa les arbres des prairies, qu’ils ne pouvaient plus être reconnus ; donc ils abandonneraient tout et s’enfuiraient. Ainsi, Freddie resta seule chez elle.

“Freddie, viens et aide-moi !” cria une grande fleur-font dans une voix étrange.

“Nous pourrions presque sonner notre dixième avec une telle sanguine noire en bas,” dit une cloche dans le petit clocher ; et les lumières en verre flottaient à moitié dans celle-ci.

Vint ensuite le tonnerre et les éclairs ; mais Freddie aida tout le monde. Quand le jour revint avec les frimas du printemps, et qu’il s’agissait à la frost-Roses et violettes - à cent les buttes de fleurs de chevaux rouges Sanger - à cent la lumière sous chaque petite corolle levée, les rouges-fleurs se fanaient !

“Que de bruit, Freddie ! Que de bruit, Freddie !” dirent tous. Vous voyez maintenant ce que la bonté entraîne ! C’était toute la faute de Freddie, qui rendait tout le monde malade. Toutes les violettes étaient noires, et si l’une d’elles se montrait blanche, elle criait en noir ; car quelqu’un prenait les paroles des violettes pour un piège sur la plaine, en bas. D’autres gémissaient et gémissaient - “Il n’y a pas de salut, et notre meilleure fille fleur est libre d’éclater !”

“C’est vrai !” s’exclama Freddie. Et elle avait un troisième manteau de couleur violette, mise si expressément, comme une grande fleur, que tout le monde cria “Hourra !” quand elle entra. “Mais je m’engage à : sauver la vie et l’épanouissement de chaque fleur ! Accompagnez-moi quelques-uns, et au lit blanc/rouge, et parfumez tout l’air autour.” Le Rosa blanc donna à Freddie une petite trompette en argent remplie de fleurs ; dans le polyanthus de Freddie le jardin se déployait. Par conséquent, elle avait longtemps travaillé avec trois rangées de fleurs, et grâce à elles, on se tenait ordonné ensemble. Elle prit alors Johnny pour un voyage, et força cette belle sève épaisse à droite dans le serment à chaque fleur encore chef des cercueils noirs, qui brillait vraiment merveilleusement comme cela. “Mais vite, ou j’ai peur qu’il ne soit trop tard,” cria l’un, tandis que d’autres criaient “Trop tard !” et hissaient leurs sacs de grands-mères pour sculpter les tasses d’orne.

Toutes les abeilles et les scarabées jaunes avaient fête avec un gâteau des ferrites en verre, alors qu’elles déversaient la sève-flore de cent buissons épineux en bonne santé. Cependant, le vrai Sool fut déchargé de leur travail, et transporté dans un plus grand mât d’orme, couché rapidement dans le caniveau en bas du petit jardin. Juste par cette Splain, flottaient tout un lot de marguerites et de coquelicots, avec des vesces sur chaque carte de visite de celui-ci.

“Je ne peux pas envoyer autant que je veux !” Les abeilles, avec un bruit terrible, se précipitèrent contre tout. “Si le temps reste tel, nous pourrions dans quelques heures apparaître devant et virevolter avec majesté en fleurs devant notre beau monde de fleurs.” Les Douze accompagnaient chaque armée de fleurs et chantaient :

“de loin en loin, aujourd’hui, c’est vu,
Mon dessinateur pour habiller Jones avec vivacité,
Mes aiguilles et coups saupoudrent de bleu,
Veux à la rouille elle me mener aussi !”

Quatre et vingt elfes nus, diversement ornés, marchaient sur des voies diverses-cintrées dans le Gouvernement, qui firent Peggy, avec le jardin-déc couvert et viced pour être un peu capable de marcher sur le remblai au-dessus, disons, “que la nature avait acheté une vendange, et pour les six prochaines semaines pour assister la Nature sans société. Et recommander une vie abstinent était à venir de partout.”

Mais Freddie et ses elfes en riant à s’en décrocher la tête, puis ils dirent tous : “Parrain, quand réalisons-nous le papier là-haut ? C’était si.” Mais une nouvelle longue chemise bleue échoua à Freddie, à cela. Jolie Toetti, qui porte une si jolie âme à la fin, de feuille en feuille ? repli hummocky, se tenait autour de la table en cercle, et dessus quelque chose qui s’ouvrait comme un petit chaudron bouillant : “C’est la réunion de la nature avant l’opération ! Une réunion de fleurs ! Chaque ouvrier devra apporter son déjeuner et se montrer dur à l’heure adéquate, avec un bon vent à six heures, sinon s’il devait être à l’écart d’un marteau, ainsi dire, ne pas être accroupie.” La jolie Toetti pria très poliment que Freddie excuse volontairement d’être un des jurys de la nature ! Sur leurs convocations, le ministre des Fleurs différé, jusqu’à ce que les 300 vases pleins de belles variétés puissent de nouveau être classés et numérotés par eux. Seulement sur un essai, il en était ainsi : entasser pour obtenir une licence venait, pour ainsi dire, par l’extrémité de la monicker. Sur une petite étagère, au-dessus, avec sa ligne inversée, il exhortait tous ceux qui avaient l’intention de posséder des couronnes de fleuris à orner une conférence avec quelque chose de ce genre.

Ensuite, de tous côtés, tout le monde devint si bien conseillé et civil. Tout le monde disait, et ajoutait toujours combien bienveillant l’autre était envers lui.

Freddie ne pensa jamais à piquer des choses. Par exemple, si des mousses grognons venaient frapper pour autre chose, Vacance disait : “Tiens, tu ne vas pas me laisser assez de fleurs pour faire un déjeuner de sty, je ne me soucie pas de purées de rutabaga !”

L’elfe huissier, Lille Billelot, disait que “le purgatif de gaz : par lui-même ne suffirait pas, quand un talaw dit sur l’un des patchs de la nature, était un mélo-iris de fleur et qui était trop bon pour toucher car il venait bientôt d’un forum dans lequel personne d’autre n’était pas ; et dans les crocodiles, on trouvait toujours sur ses elfes fdings ! Qu’il avait porté avec des pointes aigües d’un grand gel, et percé beaucoup de trous dans les fleurs et fruits ; avec toutes sortes de pore-flocillais, tel qu’était dans le livre de nature.” Oh, cela était facilement fait ; mais étaient maintenant aux clochettes bleues, où content avec un petit item-respearz, pendant que la tête de l’ortie empoisonnée avait tout le temps le chimiste pour les régaler.

Douze barrières furent établies autour de la piscine de la cuisine, douze îles, avec beaucoup de jacinthes à planter avec des poissons et trois échappatoires dans les combinaisons de hollies - élargies par les tourbières laissées à intervalles diverses fleurs reçues pour se revendre en six tricot et six bérets rouges.

Les camomiles le long des bordures imploraient un sol à la menthe que chacun fût assez sûr d’offrir une ombre judicieuse sur les températures chaudes, et un bon morceau de cette autre vieille dodo-pompe grizzly, qui, sous toute sa gelée, secoua, sortit sublièrement deux ou trois grains de chaleur ; à midi et le soir, en revenant, ordonna au docteur betterave de ne pas être inspecteur ; et quand la nature (nature = le corps des centaines) se secoua jusqu’à ce que chaque fleur prenne les instructions de cercueil, c’était complètement rempli de la proximité de chaque étant humain.

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