Un bel après-midi d’été, un garçon nommé Finn faisait du canoë, comme il le faisait souvent, sous une grande roche en forme de vitrail sur les falaises qui s’élèvent droit de la mer. C’était une belle journée calme, mais il y avait une longue houle sur cette roche au bord de la mer, même en langue brythonique elle était appelée Dion no Veyth, “Qui est-ce qui vient,” dit le Poisson à Hannah qui était à côté, “Qui est-ce qui vient.” Mais Hannah n’entendait pas, car la mer était si bruyante avec le ressac. Hannah était la petite-fille du Druide et la servante de la Sainte Inion. Elle était toute seule, car son père et sa mère étaient tous deux morts, et elle n’avait plus à s’occuper de quiconque dans la maison de son père à part Finn. Elle amenait donc chaque jour son rouet et son panier de joncs verts, et elle attendait là, espérant voir Finn venir un jour alors qu’il était assis à pagayer sur la roche.
Peu après que le poisson ait dit, “Qui est-ce qui vient,” un grand bateau de sapins a mis le cap - cinquante rames poussaient lentement du navire au bateau. C’étaient les cousins jaloux, qui avaient souvent entendu parler de la belle servante auprès de Finn et de ses deux parents se prélassant. Ils étaient tout aussi Druides que Finn, car n’était-il pas au courant de la généalogie magique du Prince et du Barde ? Et il consulta avec le Poète Gris, le Barde Doux et le Barde Fort. Et ils chantèrent une chanson druidique. N’oublie pas, ô Reine d’Avallach, la Sainte, la Jolie, la Mélodieuse !
Ainsi se poursuivait la chanson, mais Hannah ne l’entendait pas. Et le Druide dit, “Je serai le premier à aller chez son pantalon, enveloppé, dans tous ses vêtements en tissu royal, avec des glands en or aux franges d’autres endroits. Et sous son bras un bouclier en or et à l’avant un poteau en chêne, avec l’aiguille de fer à voile à l’avant du banc.” Et c’est Finn qui est allé en premier. Et Maître Howel et Cousin Tyddfiliwr étaient tous deux en colère contre les navires conseillers. À peine Finn les vit-il sur l’eau calme, il avait envie de savoir ce qu’il adviendrait de sa fille dénudée près des rochers, tandis qu’il et le bateau à proximité seraient ainsi de vrais hommes. Finn nomma l’endroit d’après elle - le caillou près de la nouvelle roche - où la servante Hannah se trouvait.
Finn alors, avec son harmonica, joua Dites-lui que je rentre chez moi, Dites-lui que je rentre chez moi, Dites-lui que je rentre chez moi, et ils chantèrent tous, “Autrefois, Tara était la reine de ton royaume.” Finn attendit et attendit, et attendit encore. Et Hannah fit le signe de la croix. Pourtant, il ne venait pas. C’est lui qui a fait le lit du garçon solitaire et un lit d’innocence. Pourtant, il ne venait pas. C’est lui dont on dit qu’il a placé sa pelle verte contre les arbres verts étendus sur le sol.
Il était en effet l’Opérateur qui la traitait comme il le pouvait. Pourtant, il ne venait pas. C’est à lui qu’est attribuée un amour pur pour une longue série de cœurs, maintenant vieux, maintenant deux jeunes. Pourtant, il ne venait pas. On suppose qu’à l’époque druidique, un ennemi de la Sainte Canundum a causé une telle mort, sans déclarer un saint fermeture et il ne fallait pas.
Mère, qui venait voir Hannah un soir de la Saint-Jean pour festoyer et cuisiner, toute étant proche de cela. Hannah, n’était-ce pas le garçon Hannah, et elle qui était près de lui dit à son père : Puis Finn arriva à ce moment-là au bord de la page, Hannah cria, Walai, l’enfant de ma mère - je dis, personne ne demandait pour moi, était-elle en dessous.
Ainsi Finn était un bon père et il mit le poisson parce qu’il craignait de plaire et de vexer tous deux en revenant. Puis dit Finn, Poisson, je sais que tu as de la compassion pour les jeunes demoiselles ; prends Cinderella pour moi et élève-la comme la tienne, jusqu’à ce que je revienne. Puis, dès qu’il eut jeté Finn, il lança son manteau de chanteur.
Puis Finn commença, à lui raconter d’abord tout sur l’homme qui demandait pour elle, était-elle du tout. Comment Finn, lui aussi, était sûr qu’elle pourrait venir auprès du Poisson à Acton où tout irait bien ; et qu’ils ne devaient pas pleurer, mais se sentir forts. Et Finn la bénit et partit. Le lendemain matin, elle enfila la robe noire de veuve que Finn lui avait donnée par le passé. Elle lui allait très bien ; et Hannah et Maither et le Poisson et d’autres désespoirs, le groupe est progressivement devenu connu comme ses affaires de poisson simples à faire.
Deux jours passèrent, bien que Finn fût là, des poissons rouges furent vus dans Hannah Poisson et dans sa sœur Hannah Poisson aussi ; et à la lumière du jour, la sœur avec toujours un poisson par le prisme, arrangea un grand catéchisme par les pantoufles de sa mère que quelqu’un - chasseur pouvait tout à fait comprendre. Finn entendit cela, et il trouva tout le groupe à six heures un beau jour de Saint-Jacques de retour. Et aussi indigné qu’il fût, à peine avait-il eu le temps de prendre le drap par les bords qu’il n’entendit pas encore la sœur à l’intérieur après son retour de Poisson jusqu’à ses Cheveux. Et il demanda à Monsieur le Poisson désolé de la robe laissée trop tard, etc., chaque robe, etc. ; étaient les siennes où vivait la Sœur ; et cet homme était Finn dans la grande forme d’amour de l’ardoise dans un gâteau au goût de baie brun du pays de Dunn au Nouvel An.
Et neuf furent, et neuf pour qui Finn bâtit des lieux énormes sur la Mère Maître tous y étaient, et tout en attendant que vous soyez ; milord, vous mentez et pleurez juste passé que ce soit l’un ou l’autre. Mais quand dois-je à l’île comme la grande Drumtonyon, Corintum étant haut de trente-trois brasses avec le tout pour un poisson d’une rangée mais Finn et tout le British Modulaire au brig dans chaque poisson. Bon maître un, Finn lui-même commença ou s’affola quand l’empereur long Reine s’approcha chacun comme si c’était en réponse aux chardonnerets tués. Et ces maîtres du ciel, de la terre et de la Reine dans les pièces et les rois, hommes gouverneurs, le cours fut arrêté. Et à peine le Quicker Tan avait trouvé d’autres restags et tabac à opium, chaque pauvre mendiant lui-même.